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Un festival donne à Jérusalem des envies d’Oud

Des musiciens de Tbilisi, de la Grèce et de l'Inde partagent la scène avec des musiciens locaux pendant l'événement annuel

Jessica Steinberg est responsable notre rubrique « Culture & Art de vivre »

L'Américain-Arménien Ara Dinkjian, un joueur de oud populaire, qui sera présent pour la sixième fois au Festival Oud de Jérusalem en novembre 2017 (Crédit : Autorisation Alena Soboleva)
L'Américain-Arménien Ara Dinkjian, un joueur de oud populaire, qui sera présent pour la sixième fois au Festival Oud de Jérusalem en novembre 2017 (Crédit : Autorisation Alena Soboleva)

Le Festival international d’Oud de Jérusalem arrive bientôt, avec des artistes d’Israël et de l’étranger réunis pour célébrer les sons de l’instrument à cordes en forme de poire populaire dans la musique du Moyen-Orient.

Le festival de cette année, qui se déroulera du 2 au 9 novembre à la Maison de la Confédération près des murs de la Vieille Ville de Jérusalem, regroupe de nombreux musiciens remarquables, dont trois divas grecques qui seront sur scène ensemble : Dmitra Galani, Eleni Tsaligopoulou et Yota Nega. Il y a aussi Egari, un groupe ethno-jazz de Tbilisi, en Géorgie.

Cela vaudra la peine d’être présent le projet de la musique classique occidentale et arabe, présenté par Nizar Elkhhater, Maria Jubran et le Chœur Bertini, ou d’assister au mélange de klezmer et d’oud avec le clarinettiste Hanan Bar-Sela et le joueur d’oud Imad Dalal.

Il n’y aura pas d’oud pendant la soirée rock and roll méditerranéen avec Avner Gedassi et Chemi Rudner, mais le premier grand succès de Gedassi, « Nifradnu Kakh » (« Nous nous sommes quittés comme ça »), a redéfini la connexion entre le rock et l’âme américaine et la musique du Moyen-Orient.

Il y a également la possibilité d’écouter Amjad Ali Khan, le joueur de sarod et le compositeur-chanteur indien Esti Keinan Ofri, qui présentera une sélection de ses mélodies judéo-espagnoles.

Trois femmes — la chanteuse liturgique et la vocaliste Rakefet Amsalem, la chanteuse Violet Salameh et la chanteuse de flamenco Yael Horowitz — chanteront ensemble d’une sélection de musique sacrée et laïque, des poèmes liturgiques et des classiques arabes et de la musique andalouse.

Le guitariste Michel Sajrawy propose une rencontre entre la musique arabe, le jazz et le rock, avec les chansons des vocalistes Fairuz, Um Kalthoum et Farid al-Atrash avec des sons d’un ensemble occidental de fusion de jazz progressif.

Les billets sont disponibles chez Bimot. Pour plus d’informations, consultez la page Facebook de la Confederation House ou composez le 02-624-5206.

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