Israël en guerre - Jour 427

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Une bannière tient la procureure générale pour responsable s’il arrivait quelque chose à Netanyahu

Installée au-dessus de l'autoroute de Tel Aviv, la banderole a été financée par Noam, un parti d'extrême droite de la coalition

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu  lors du Conseil des ministres à Jérusalem, le 1er novembre 2024 ; la procureure générale Gali Baharav-Miara lors de la cérémonie d'adieu au président par intérim de la Cour suprême, Uzi Vogelman, à la Cour suprême de Jérusalem, le 1er octobre 2024. (Crédit : Amos Ben Gershom/GPO ; Oren Ben Hakoon/POOL)
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu lors du Conseil des ministres à Jérusalem, le 1er novembre 2024 ; la procureure générale Gali Baharav-Miara lors de la cérémonie d'adieu au président par intérim de la Cour suprême, Uzi Vogelman, à la Cour suprême de Jérusalem, le 1er octobre 2024. (Crédit : Amos Ben Gershom/GPO ; Oren Ben Hakoon/POOL)

Une immense bannière a été installée au-dessus de l’autoroute de Tel Aviv, tenant la procureure générale Gali Baharav-Miara pour responsable s’il arrivait quelque chose au Premier ministre Netanyahu.

La pancarte comporte des photos de Netanyahu et de Gali Baharav-Miara et indique « Son sang (que Dieu nous en préserve) est sur sa tête ».

La banderole a été financée par Noam, un parti d’extrême droite, un parti unipersonnel de la coalition, connu pour ses positions homophobes, misogynes et antipluralistes.

Cette banderole est la dernière d’une série de mesures prises par des membres du gouvernement à l’encontre de Baharav-Miara et qui ont été condamnées pour incitation à la violence.

Dimanche, dans un message incendiaire publié sur X, le ministre des Communications Shlomo Karhi a appelé à son licenciement tout en invoquant des principes de la loi juive associés à la tentative de meurtre pour justifier sa position.

Cette décision fait suite à un incident au cours duquel des fusées éclairantes ont été tirées sur le domicile de Netanyahu à Césarée dans la nuit de samedi à dimanche, Baharav-Miara étant accusée de ne pas s’être attaquée à la violence et à l’incitation des manifestants antigouvernementaux.

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