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« Les otages ou Rafah » : Des manifestants bloquent Ayalon et réclament un accord

Des manifestants appelant à un accord sur les otages tiennent une banderole sur laquelle on peut lire "C'est soit Rafah, soit les otages - choisissez la vie", alors qu'ils bloquent l'autoroute Ayalon, à Tel Aviv, le 2 mai 2024. (Crédit : Adar Eyal//Mouvement de protestation pour la démocratie)
Des manifestants appelant à un accord sur les otages tiennent une banderole sur laquelle on peut lire "C'est soit Rafah, soit les otages - choisissez la vie", alors qu'ils bloquent l'autoroute Ayalon, à Tel Aviv, le 2 mai 2024. (Crédit : Adar Eyal//Mouvement de protestation pour la démocratie)

Des manifestants bloquent l’autoroute Ayalon à Tel Aviv pour réclamer un accord immédiat pour la libération des otages.

Brandissant une grande banderole « C’est soit Rafah, soit les otages – choisissez la vie », les manifestants se tiennent au milieu de la route très fréquentée pour empêcher le trafic de passer.

La Douzième chaîne rapporte que plusieurs membres des familles des otages sont à la tête de la manifestation, notamment Yehuda Cohen, le père de Nimrod Cohen, 19 ans, et Shay Mozes, le neveu de Gadi Mozes, 79 ans.

Des membres d’un groupe de protestation dirigé par des femmes sont également présents et demandent à Israël de ne pas lancer son incursion dans Rafah, car cela mettrait en danger la vie des otages, dont beaucoup seraient détenus dans la ville la plus méridionale de la bande de Gaza.

Des manifestants réclamant un accord sur les otages bloquent l’autoroute Ayalon, à Tel Aviv, le 2 mai 2024. (Crédit : Aviv Atlas/Mouvement de protestation pour la démocratie)

« Entrer à Rafah signifie abandonner la vie des otages », explique le groupe dans une déclaration aux médias. « Après six mois de promesse que seule une action militaire pourrait ramener les otages, nous comprenons tous que le seul moyen de sauver ceux qui peuvent encore l’être est de conclure un accord. »

« Ne cédez pas à la pression des extrémistes qui utilisent les otages comme une excuse pour continuer à faire la guerre », ajoute le groupe en s’adressant au Premier ministre Benjamin Netanyahu.

Ces derniers jours, des membres d’extrême-droite du gouvernement de Netanyahu, dont le ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben Gvir et le ministre des Finances Bezalel Smotrich, ont mis en garde contre la conclusion d’un accord sur les otages qui nécessiterait des concessions importantes de la part d’Israël.

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