Israël en guerre - Jour 532

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L’otage tué Ohad Yahalomi est enterré dans le kibboutz où il a été enlevé

Batsheva Yahalomi (au centre à gauche), l'épouse du Franco-Israélien Ohad Yahalomi, l'un des otages israéliens capturés par des terrorsites palestiniens dans la bande de Gaza lors des attentats du 7 octobre 2003, pleure avec sa sœur Effie (au centre à droite) devant la morgue où son corps a été conservé avant ses funérailles, à Rishon LeZion, dans le centre d'Israël, le 5 mars 2005. (Crédit : Jack Guez/AFP)
Batsheva Yahalomi (au centre à gauche), l'épouse du Franco-Israélien Ohad Yahalomi, l'un des otages israéliens capturés par des terrorsites palestiniens dans la bande de Gaza lors des attentats du 7 octobre 2003, pleure avec sa sœur Effie (au centre à droite) devant la morgue où son corps a été conservé avant ses funérailles, à Rishon LeZion, dans le centre d'Israël, le 5 mars 2005. (Crédit : Jack Guez/AFP)

Ohad Yahalomi, qui a été tué en captivité dans les geôles du Hamas et renvoyé en Israël la semaine dernière, est enterré au kibboutz Nahal Oz, où il habitait et d’où il avait été pris en otage.

Son épouse Batsheva lui rend hommage.

« Mon Ohadi, 16 ans de vie commune ; 16 ans où tu as été un pilier, avec ton soutien, ton amour et ton amitié inébranlable ; 16 ans de joie et de lumière, et la lumière s’est éteinte maintenant. Et je marche dans l’ombre, à tâtons. Comment puis-je avancer sans toi ? Où vais-je ? », dit-elle.

« Au cours de l’année écoulée, tu nous as manqué à chaque décision, chaque fois que nous avons agi. À chaque décision, j’essayais de me demander si tu l’aurais approuvée. Tes rires, ta cuisine et, plus généralement, tout ce qui te caractérisait nous ont manqué, à moi et aux enfants. »

« Durant tout ce temps, nous avons gardé l’espoir que tu reviendrais, car qui pouvait te vaincre ? Nous étions certains que si quelqu’un pouvait survivre à une captivité aussi difficile, c’était bien toi. Car personne n’est plus fort que toi, ni physiquement ni mentalement. Nous avons même imaginé que tes geôliers t’avaient pris en affection, pour ce que tu es. »

Des centaines de personnes ont défilé le long des routes menant aux funérailles, brandissant des drapeaux d’Israël.

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