Israël en guerre - Jour 530

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Aoun discute avec Chareh de la « nécessité » de contrôler la frontière syro-libanaise

Le Liban partage avec la Syrie une frontière de 330 kilomètres sans démarcation officielle en plusieurs points, ce qui la rend poreuse et propice à la contrebande

Des familles libanaises sont assises au milieu de la circulation alors qu'elles rentrent au Liban par le poste-frontière de Jousieh, en Syrie, jeudi 28 novembre 2024, suite au cessez-le-feu conclu entre Israël et le Hezbollah, entré en vigueur la veille. (Crédit : AP/Omar Sanadiki)
Des familles libanaises sont assises au milieu de la circulation alors qu'elles rentrent au Liban par le poste-frontière de Jousieh, en Syrie, jeudi 28 novembre 2024, suite au cessez-le-feu conclu entre Israël et le Hezbollah, entré en vigueur la veille. (Crédit : AP/Omar Sanadiki)

Le président libanais Joseph Aoun a rencontré son homologue syrien Ahmad al-Chareh mardi en marge du sommet arabe sur Gaza au Caire, a indiqué la présidence libanaise, ajoutant qu’ils avaient souligné la « nécessité » de contrôler leur frontière commune.

Le Liban partage avec la Syrie une frontière de 330 kilomètres sans démarcation officielle en plusieurs points, ce qui la rend poreuse et propice à la contrebande.

« Le président Aoun et le président syrien Ahmad al-Chareh ont abordé plusieurs questions en suspens », a déclaré sur X la présidence libanaise qui a publié une photo de la rencontre.

« Il a été convenu d’une coordination par le biais de commissions conjointes qui seront formées après la formation du nouveau gouvernement syrien », a-t-elle poursuivi, ajoutant qu’il avait également été « convenu de la nécessité de contrôler les frontières entre les deux pays ».

Il s’agit de la première rencontre entre les deux hommes.

Les nouvelles autorités syriennes, issues de la coalition de groupes rebelles islamistes ayant renversé en décembre le dictateur Bachar al-Assad, avaient annoncé début février le lancement d’une opération de sécurité dans la région frontalière de Homs (centre) pour « fermer les routes de contrebande d’armes et de marchandises ».

Selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), cette opération visait également « les contrebandiers, les trafiquants de drogue recherchés et les personnalités proches » du groupe terroriste du Hezbollah libanais.

Le Hezbollah, qui a combattu aux côtés des troupes d’Assad durant le conflit en Syrie, exerçait son influence sur de larges portions de la frontière libano-syrienne.

Il a été grandement affaibli par la récente guerre avec Israël.

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