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Arrestation d’un policier soupçonné d’atteinte à la pudeur sur deux garçons de 14 et 12 ans

Le suspect dit que les victimes présumées ont déclaré avoir 17 ans ; le juge de l'audience concède que l'âge des victimes est difficile à déterminer d'après les photos

Illustration : Un policier tenant des menottes. (Crédit : Yossi Zamir/Flash90)
Illustration : Un policier tenant des menottes. (Crédit : Yossi Zamir/Flash90)

La police israélienne a révélé mardi qu’un officier de police avait été arrêté en raison de soupçons d’actes indécents à l’encontre de deux mineurs, mais un juge a reconnu qu’il était difficile d’évaluer l’âge des deux personnes.

Le policier, qui travaille dans le centre du pays, a été arrêté samedi. Il est soupçonné d’avoir commis des délits de mœurs et de sodomie sur les mineurs, a déclaré la police dans un communiqué.

Les enquêteurs du département des enquêtes internes de la police ont interrogé le policier, soupçonné d’avoir commis des actes indécents sur les deux mineurs, âgés de 14 et 12 ans, dans l’appartement d’une de ses connaissances dans la ville de Modiin, au centre du pays.

Le tribunal de première instance de Rishon Lezion a prolongé la détention provisoire du policier jusqu’à jeudi.

Le policier aurait pris contact avec les deux jeunes via une application de rencontre et les aurait ensuite rencontrés pour se livrer à des actes sexuels. L’un des jeunes a ensuite raconté ce qui s’était passé à un membre de sa famille, qui a contacté la police. Le policier a été arrêté le jour même.

Lors de l’interrogatoire, le policier a affirmé que les deux garçons lui avaient dit qu’ils avaient 17 ans. Ils ont tous deux admis avoir menti sur leur âge, selon la presse israélienne.

Le juge préliminaire Gil Gabay, à qui l’on a montré des photos des deux garçons, a reconnu qu’il était difficile de déterminer avec certitude qu’il s’agissait de mineurs, contrairement à ce qu’avait affirmé la police.

« Je ne suis pas sûr de pouvoir conclure, sur la base des photos, qu’il s’agit de mineurs et non de jeunes d’un autre âge comme ils se sont présentés », a déclaré le juge Gabay.

Un embargo sur l’identification du policier a été imposé aux médias. Les enquêteurs des affaires internes ont toutefois avancé que la publication de son nom pourrait inciter d’autres victimes potentielles à se manifester et à intenter une action en justice. Les enquêteurs soupçonnent que des incidents similaires ont pu se produire dans le passé.

L’avocat Sagi Blumenfeld, qui représente le policier, a déclaré que son client nie tout acte répréhensible et coopère pleinement avec les enquêteurs.

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