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Confrontation mi-septembre entre Tariq Ramadan et la plaignante suisse

Depuis février 2018, l'intellectuel musulman est mis en examen en France pour "viol" et "viol sur personne vulnérable", pour des faits dénoncés par deux plaignantes

Sur cette photo prise le 26 mars 2016, l'islamologue suisse Tariq Ramadan participe à une conférence sur le thème "Vivre ensemble" à Bordeaux. (Crédit : AFP / MEHDI FEDOUACH)
Sur cette photo prise le 26 mars 2016, l'islamologue suisse Tariq Ramadan participe à une conférence sur le thème "Vivre ensemble" à Bordeaux. (Crédit : AFP / MEHDI FEDOUACH)

L’islamologue suisse Tariq Ramadan, inculpé en France pour quatre viols qu’il conteste, sera confronté le 16 septembre à Paris à une plaignante suisse qui l’accuse également de viol, a indiqué mercredi à l’AFP Me Grégoire Leclerc, avocat de cette femme.

« Une confrontation aura lieu le 16 septembre entre M. Ramadan et ma cliente suisse en présence d’un juge d’instruction français et d’un magistrat suisse », a annoncé Me Leclerc.

« La confrontation est prévue au tribunal judiciaire de Paris. Enfin, ma cliente va être entendue par la justice, deux ans après son dépôt de plainte pour viol », s’est félicité cet avocat.

« M. Ramadan attend cette confrontation avec impatience, car la plaignante sera placée face à ses mensonges et contradictions. M. Ramadan a déjà dénoncé ces accusations fantaisistes devant les juges et n’a fait l’objet d’aucune poursuite », a réagi Me Pascal Garbarini, avocat de l’intellectuel suisse.

M. Ramadan, visé par un contrôle judiciaire qui l’empêche de quitter le territoire français, avait été interrogé mi-juillet à Paris par le procureur de Genève, en présence d’un juge d’instruction français chargé des investigations sur les volets français de l’affaire.

Il est accusé depuis 2018 par une Suissesse de l’avoir violée et séquestrée à Genève en 2008.

« Il s’agissait simplement pour Tariq Ramadan de répondre à des questions et de livrer sa version », avaient abondé à l’issue de l’audition Me Philippe Ohayon et Me Nabila Asmane, qui le défendent aussi.

Depuis février 2018, l’intellectuel musulman est mis en examen (inculpé) en France pour « viol » et « viol sur personne vulnérable », pour des faits dénoncés par deux plaignantes, Henda Ayari et « Christelle », respectivement en 2012 à Paris et en 2009 à Lyon.

Deux nouvelles mises en examen, pour des soupçons de viols sur deux femmes, en 2015 et 2016, ont été prononcées le 14 février dernier.

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