Israël en guerre - Jour 466

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Gantz à Hochstein : « Le temps presse » pour conclure un accord à la frontière nord

La Maison Blanche a réaffirmé qu'il était encore possible d'éviter une guerre entre Israël et le Hezbollah

Jacob Magid est le correspondant du Times of Israël aux États-Unis, basé à New York.

Le président de Kakhol lavan, Benny Gantz (à droite), avec l'envoyé américain Amos Hochstein, le 17 juin 2024. (Autorisation)
Le président de Kakhol lavan, Benny Gantz (à droite), avec l'envoyé américain Amos Hochstein, le 17 juin 2024. (Autorisation)

Le chef du parti Kakhol lavan, Benny Gantz, a rencontré lundi soir l’envoyé américain Amos Hochstein, a indiqué son cabinet par voie de communiqué.

Gantz a déclaré à l’envoyé américain que « le temps presse » pour parvenir à un accord diplomatique pour rétablir le calme le long de la frontière nord avec le Liban.

Selon son cabinet, Gantz aurait indiqué à Hochstein qu’il souhaitait « en finir une bonne fois pour toutes avec la menace que représente le Hezbollah pour les citoyens du nord d’Israël, quoi qu’il advienne de la guerre à Gaza ».

Gantz, qui a quitté la coalition la semaine dernière, a fait savoir qu’il soutiendrait « toute décision politique ou militaire responsable et efficace en la matière sans pour autant faire partie du gouvernement ».

Par ailleurs, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, John Kirby, s’est vu interroger une nouvelle fois, lors d’une conférence de presse, sur le caractère évitable – ou non – d’une guerre à part entière entre Israël et le Hezbollah.

« Si nous en étions sûrs, nous n’aurions pas missionné Amos là-bas. Nous sommes évidemment préoccupés par la question », a répondu Kirby en parlant du conseiller principal du président américain Joe Biden, Amos Hochstein, à Jérusalem pour parler avec des dirigeants israéliens et empêcher une nouvelle escalade de tensions dans le nord.

« Notre niveau d’inquiétude n’a pas changé. Cela continue de nous inquiéter », a déclaré le porte-parole du Département d’État, Matthew Miller, lors d’un point, un peu plus tard.

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