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Le chef de cabinet du Premier ministre soupçonné de falsification et de modification illégale de documents

L'enquête sur les accusations selon lesquelles Tzahi Braverman aurait voulu modifier les comptes-rendus des discussions officielles liées au 7 octobre se poursuit

Le chef de cabinet du Premier ministre Benjamin Netanyahu, Tzahi Braverman, à la Knesset, à Jérusalem, le 13 mars 2024. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)
Le chef de cabinet du Premier ministre Benjamin Netanyahu, Tzahi Braverman, à la Knesset, à Jérusalem, le 13 mars 2024. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)

Tzachi Braverman, chef de cabinet du Premier ministre Benjamin Netanyahu, est soupçonné d’avoir falsifié et modifié illégalement des documents du cabinet du Premier ministre détenus par le secrétaire militaire du Premier ministre concernant les activités de Netanyahu dans les toutes premières minutes de l’invasion du Hamas du 7 octobre, rapportent les médias israéliens, après qu’un tribunal a levé l’interdiction de divulgation de l’affaire dans la presse.

Braverman est soupçonné d’avoir modifié l’heure à laquelle Netanyahu a reçu pour la première fois une mise à jour par appel téléphonique du secrétaire militaire du Premier ministre sur la situation, la faisant passer de 6h40 à 6h29, rapporte Ynet.

Braverman a été interrogé sous caution par l’unité des crimes majeurs Lahav 433 de la police pendant trois heures aujourd’hui concernant son rôle dans l’affaire.

Une enquête sur ces allégations a été ouverte après que le secrétaire militaire de l’époque, le major-général Avi Gil, ait envoyé une note au procureur général à ce sujet, a rapporté la Treizième chaine.

Les allégations selon lesquelles Braverman aurait fait chanter un officier de Tsahal pour qu’il modifie les enregistrements en le menaçant avec un enregistrement vidéo compromettant n’ont pas encore fait l’objet d’une enquête.

En début de semaine, les médias israéliens avaient rapporté que Braverman était soupçonné d’avoir utilisé une vidéo sensible d’un responsable de l’armée israélienne pour le faire chanter et l’obliger à modifier le procès-verbal. Braverman a qualifié le reportage de diffamation et a menacé de poursuivre la chaîne publique Kan si elle ne présentait pas des excuses pour son reportage et ne lui versait pas des dommages-intérêts.

La police et le bureau du Premier ministre n’ont fait aucun commentaire officiel.

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