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La menace de l’islamisme radical « empire », estime Tony Blair

L'ex-Premier ministre avait engagé son pays dans la guerre en Afghanistan après les attentats du 11 septembre 2001 aux côtés des Etats-Unis au nom de la guerre contre le terrorisme

Tony Blair (Crédit : Kobi Gideon/Flash90)
Tony Blair (Crédit : Kobi Gideon/Flash90)

L’ex-Premier ministre britannique Tony Blair a averti lundi que l' »islam radical » demeurait une menace « de premier ordre » et même croissante pour la sécurité dans le monde, près de 20 ans après les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis.

« Depuis le 11 septembre, même si heureusement il n’y a pas eu d’autre attaque terroriste de cette ampleur, l’islam radical n’a pas diminué en force », a déclaré M. Blair, qui avait engagé son pays dans la guerre en Afghanistan en 2001 aux côtés des Etats-Unis au nom de la guerre contre le terrorisme.

« L’islamisme, tant l’idéologie que la violence, est une menace de premier ordre pour la sécurité et s’il n’est pas contrôlé, il viendra à nous, même si son centre est loin de nous, comme l’a démontré le 11 septembre », a-t-il poursuivi. « C’est une menace mondiale, qui empire ».

Il a appelé les puissances mondiales, dont des alliés non occidentaux, à « s’unir » pour adopter une « stratégie commune ». Selon lui, la Chine, la Russie et de nombreux pays musulmans ont un intérêt à contrer l’islam radical.

L’ex-dirigeant travailliste s’exprimait lors d’une conférence du centre de réflexion britannique RUSI quelques semaines après la reprise du pouvoir par les talibans en Afghanistan.

De la fumée s’élève des tours jumelles en feu du World Trade Center après que des avions détournés se soient écrasés sur les tours, à New York, le 11 septembre 2001. (AP Photo/Richard Drew, File)

Durant ses dix années à la tête du gouvernement britannique à partir de 1997, Tony Blair avait noué un lien étroit avec le président américain George W. Bush, défendant l’interventionnisme occidental.

L’impopularité des interventions militaires au Moyen-Orient, notamment en Irak en 2003, ont joué un grand rôle dans sa chute en 2007 et son remplacement par Gordon Brown.

L’ancien dirigeant a réitéré des critiques formulées en août, quand il avait accusé l’Occident d’avoir abandonné l’Afghanistan en se retirant du pays après vingt ans de présence.

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