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La Suisse lève les sanctions contre l’Iran

Le gouvernement explique que la décision visait à montrer le soutien pour la mise en place de l’accord nucléaire avec Téhéran

Le Secrétaire d'Etat américain John Kerry (g), le ministre britannique des Affaires étrangères Philip Hammond (2ème g), le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov (4g), le ministre allemand des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier (7e g), le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius (8g) et le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi (9g) attendre avec les autres avant le début d'une réunion avec le P5 + 1, l'Union européenne et des responsables iraniens à Lausanne, Suisse, le 30 mars 2015 (Crédit : AFP / POOL / BRENDAN SMIALOWSKI)
Le Secrétaire d'Etat américain John Kerry (g), le ministre britannique des Affaires étrangères Philip Hammond (2ème g), le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov (4g), le ministre allemand des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier (7e g), le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius (8g) et le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi (9g) attendre avec les autres avant le début d'une réunion avec le P5 + 1, l'Union européenne et des responsables iraniens à Lausanne, Suisse, le 30 mars 2015 (Crédit : AFP / POOL / BRENDAN SMIALOWSKI)

La Suisse doit lever les sanctions contre l’Iran jeudi, a annoncé Reuters, dans le contexte de l’accord sur le nucléaire signé avec Téhéran le mois dernier.

« Le Conseil Férédal [gouvernement] souhaite que les étapes d’aujourd’hui soient perçues comme le signe de son soutien à la mise en place de l’accord sur le nucléaire et son intérêt dans l’approfondissement des relations bilatérales avec l’Iran », a annoncé le gouvernement suisse cité dans la dépêche.

L’accord obtenu entre l’Iran et les Etats-Unis, la Russie, la Chine, la Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne le 14 juillet vise à réduire le programme nucléaire de l’Iran en échange des milliards de dollars d’une levée des sanctions économiques.

Le Congrès américain doit voter le mois prochain une résolution pour déterminer s’il accepte ou rejette l’accord.

Le Secrétaire d’Etat John Kerry a déclaré mardi que si le Congrès rejettait l’accord, les Etats-Unis ne seront pas capables d’empêcher les alliés de faire des affaires avec Téhéran.

Mais Chuck Schumer, le seul sénateur démocrate à s’être publiquement opposé à l’accord jusqu’à présent, a déclaré que même si les Etats-Unis rejettent l’accord et que les autres pays lèvent leurs sanctions, l’Iran sentira encore fortement la pression des sanctions américaines.

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