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Le maire de Nazareth insiste : « c’est moi qui ai tout appris à Trump »

Ils ne se sont jamais rencontrés, mais Ali Salam persiste à comparer son parcours avec celui du président-élu

Dov Lieber est le correspondant aux Affaires arabes du Times of Israël

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu rencontre le maire de la ville israélienne de Nazareth Ali Salam, dans le bureau du Premier ministre à Jérusalem le 13 janvier 2016 (Crédit : Haim Zach / GPO)
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu rencontre le maire de la ville israélienne de Nazareth Ali Salam, dans le bureau du Premier ministre à Jérusalem le 13 janvier 2016 (Crédit : Haim Zach / GPO)

Le maire de Nazareth, critiqué pour s’être attribué la victoire du président-élu Donald Trump, ne voit pas le problème.

Ali Salam, le maire musulman de la ville de Nazareth, majoritairement arabe israélienne, située dans le nord d’Israël, a déclaré jeudi qu’il avait « tout appris à Trump » sur la façon de remporter une élection, bien que les deux hommes ne se soient jamais rencontrés. Ses propos ont déclenché une pluie de critiques.

« Quel est le problème ? Je ne comprends pas. Il est le président du plus grand pays du monde et je dirige la ville la plus importante du monde », explique Salam à al Sonnara, média arabe.

Pendant l’interview de lundi, Salam appelle Trump « le maire de l’Amérique ».

« Ce que j’ai fait, Trump l’a fait. C’est un homme d’affaires, tout comme moi. Je ne vois pas le problème », affirme Salam.

« Ça suffit avec la haine. Nous devons travailler ensemble », souligne Salam.

Les propos du maire arabe israélien de jeudi étaient fondés sur le fait qu’après sa victoire, Trump a dit à ses partisans « Je vous aime. Je vous aime. Je vous aime. », comme l’a fait Salam lorsque qu’il a remporté la mairie de Nazareth.

Le président élu Donald Trump pendant son discours de victoire à New York, le 9 novembre 2016. (Crédit : Chip Somodevilla/Getty Images via JTA)
Le président élu Donald Trump pendant son discours de victoire à New York, le 9 novembre 2016. (Crédit : Chip Somodevilla/Getty Images via JTA)

« C’est ce que j’ai fait quand j’ai gagné », dit-il.

Salam ne prétend pas avoir rencontré Trump, et ne peut pas non plus prouver que le président-élu est au courant de son existence, mais compare la campagne pour la municipalité de Nazareth aux présidentielles américaines, les deux campagnes ayant été particulièrement « féroces ».

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