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Le ministre des Communications dévoile ses projets de réforme

Shlomo Karhi veut mettre fin à l’obligation d’obtenir une licence avant de pouvoir diffuser des actualités et la fermeture de la Seconde Autorité pour la télévision et la radio

Le ministre des Communications Shlomo Karhi dévoile sa réforme du marché des communications, à Jérusalem, le 21 mars 2023. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)
Le ministre des Communications Shlomo Karhi dévoile sa réforme du marché des communications, à Jérusalem, le 21 mars 2023. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)

Shlomo Karhi, ministre des Communications, a présenté ce mardi ses projets de réforme pour l’année à venir. Il a ainsi annoncé qu’il mettrait fin à l’obligation d’obtenir une licence avant de pouvoir diffuser des actualités. Il a aussi annoncé la fermeture de la Seconde Autorité pour la télévision et la radio (HaRashut HaShniya Le’Televizya VeRadio) en raison de ce qu’il a appelé un « interventionnisme hyperactif ».

Lors d’une conférence de presse, Karhi – qui avait déjà évoqué à plusieurs reprises son intention de fermer le réseau public Kan – a jugé « scandaleux » que Kan détienne environ la moitié des fréquences de diffusion radio de la bande FM. Il a déclaré qu’il envisageait de léguer certaines de ces fréquences à des antennes locales.

Il a indiqué que son ministère ne se précipiterait pas dans les projets concernant le radiodiffuseur public, Kan, saluant ses séries télévisées populaires acclamées par la critique ces dernières années. « Nous continuerons à renforcer les œuvres israéliennes », a-t-il promis.

Il a également affirmé qu’il prévoyait de développer l’accès au réseau 5G à l’échelle nationale.

Karhi a l’intention d’allouer un budget afin « d’encourager la concurrence » parmi les chaines d’actualité, ainsi que de réduire l’interventionnisme du conseil de surveillance concernant le contenu et les horaires dans le but d’ouvrir de nouvelles chaînes et de baisser les coûts.

Il a également assuré qu’il « défendra la liberté d’expression sur les réseaux sociaux », introduisant une obligation « d’expliquer les blocages et les suppressions de contenus » et permettant aux tribunaux de discuter des « violations des droits des utilisateurs des réseaux sociaux ».

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