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Lieux juifs aspergés de peinture verte: les suspects sont des ressortissants serbes

Les trois hommes ont été interpellés dans les Alpes-Maritimes, a-t-on ajouté de même source, confirmant une information du journal Le Figaro

Photo d'illustration : Une voiture de police passe devant la synagogue d'Orléans, dans le centre de la France, le 23 mars 2025, au lendemain d'une agression contre le rabbin d'Orléans, pour laquelle un mineur a été arrêté, le 23 mars 2025. (Crédit : JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP)
Photo d'illustration : Une voiture de police passe devant la synagogue d'Orléans, dans le centre de la France, le 23 mars 2025, au lendemain d'une agression contre le rabbin d'Orléans, pour laquelle un mineur a été arrêté, le 23 mars 2025. (Crédit : JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP)

Les trois étrangers soupçonnés d’avoir aspergé de peinture de couleur verte dans la nuit de vendredi à samedi à Paris cinq lieux juifs dont le Mémorial de la Shoah sont des hommes, tous trois ressortissants serbes, a-t-on appris mardi de source proche du dossier.

Les trois hommes ont été interpellés dans les Alpes-Maritimes, a-t-on ajouté de même source, confirmant une information du journal Le Figaro.

Les suspects s’apprêtaient à quitter le territoire au moment de leur arrestation, avait précisé lundi à l’AFP une source proche de l’enquête.

Dans la nuit de vendredi à samedi, le mur des Justes du Mémorial de la Shoah, deux synagogues et un restaurant de la communauté juive, situés dans le IVe arrondissement de la capitale, ont été aspergés de peinture de couleur verte, ainsi qu’une synagogue dans le XXe arrondissement.

Les faits ont été découverts au petit matin par des policiers en patrouille et l’enquête confiée par le parquet de Paris à la Sûreté territoriale pour « dégradations commises en raison de la religion ».

Les caméras de surveillance du Mémorial ainsi que de deux synagogues ont capté des images de plusieurs hommes vêtus de noir.

Aucun message ni revendication n’a été trouvé sur les lieux pris pour cible.

La piste d’une opération de déstabilisation venue de l’étranger à l’image de celle des « mains rouges » de mai 2024 est envisagée par les enquêteurs, selon une source proche du dossier.

Dans cette affaire, trois Bulgares, soupçonnés de les avoir peintes, ont été mis en examen et placés en détention provisoire en fin d’année dernière.

Les tags de « mains rouges », symbole pouvant être lié au lynchage de soldats israéliens à Ramallah en 2000, ont été analysés par les services de sécurité comme une opération d’ingérence de la part de Russophones.

A l’automne 2023, deux Moldaves ont été interpellés pour avoir tagué des étoiles de David sur des façades d’immeubles parisiens, dans une autre opération présumée d’ingérence.

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