Les politiciens expriment leur douleur et leur rage à propos du sort des Bibas

Des politiciens réagissent à la nouvelle selon laquelle la famille Bibas fait partie des morts qui seront restitués demain.
« Une telle vengeance pour le sang d’un bébé et d’une jeune fille n’a pas encore été accomplie par Satan », tweete Avigdor Liberman, citant un poème que le poète national israélien, Hayim Nahman Bialik, a écrit après le pogrom de Kishinev en 1903.
Le ministre des Communications, Shlomo Karhi a déclaré avoir appris la nouvelle « avec une douleur et des larmes infinies ».
« Toute une nation a prié et espéré le retour en vie de nos chers Shiri, Kfir et Ariel », déclare-t-il. Il ajoute que le Hamas « n’a qu’un seul destin : être rayé de la surface de la terre ».
« Le cœur est brisé… Nous avons tant espéré. Les mots ne suffisent plus », écrit le chef de l’opposition, Yair Lapid sur X.
Le leader de HaMahane HaMamlahti déclare : « Demain, nous retiendrons tous notre souffle – ensemble. Nous pleurerons – ensemble. Nous mettrons fin aux querelles – il ne se passera rien, elles peuvent attendre. Et nous étreindrons les chères familles en tant que nation forte et unie. Elles le méritent, nous le méritons. »
Otzma Yehudit, quant à lui, s’est adressé au Hamas dans un tweet : « Annihiler, démolir, oblitérer, anéantir, écraser, frapper, incinérer, brutaliser, punir, dévaster, éradiquer. Détruisez ! »