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Nouvelle instance pour resserrer les liens économiques des pays du Golfe

Les monarchies arabes, confrontées à une chute des recettes pétrolières, veulent "[stimuler] la cohérence, l'intégration et la coordination"

Le ministre saoudien des Affaires étrangères Adel al-Jubeir (au centre à droite) accueille son homologue de Bahreïn Khalid Bin Ahmad al-Khalifa (au centre à gauche) et le secrétaire général du conseil de coopération du Golfe Abdullatif bin Rashid Al-Zayani de Bahreïn (tout à droite) à leur arrivée pour un conseil de coopération du Golfe dans la capitale de l'Arabie saoudite, Ryad, le 9 janvier 2016. (Crédit : AFP/Ahmed Farwan)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères Adel al-Jubeir (au centre à droite) accueille son homologue de Bahreïn Khalid Bin Ahmad al-Khalifa (au centre à gauche) et le secrétaire général du conseil de coopération du Golfe Abdullatif bin Rashid Al-Zayani de Bahreïn (tout à droite) à leur arrivée pour un conseil de coopération du Golfe dans la capitale de l'Arabie saoudite, Ryad, le 9 janvier 2016. (Crédit : AFP/Ahmed Farwan)

Les monarchies arabes du Golfe, qui sont confrontées à une chute des recettes pétrolières, ont créé mardi une nouvelle instance destinée à renforcer leur coopération économique.

Cette instance, l’Autorité des affaires économiques et de développement, « stimulera la cohérence, l’intégration et la coordination entre les Etats membres dans tous les secteurs économiques et de développement », a annoncé le Conseil de coopération du Golfe (CCG) dans un communiqué à l’issue d’un sommet à Jeddah, dans l’ouest de l’Arabie saoudite.

Elle « cherchera notamment à réaliser l’union douanière et le marché commun des Etats du CCG », a déclaré le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Jubeir, lors d’une conférence de presse.

Le CCG (Arabie saoudite, Bahreïn, Emirats arabes unis, Koweït, Oman et Qatar) a été fondé en 1981 en vue d’une plus grande intégration des pays du Golfe mais peu de progrès ont été réalisés depuis.

Ses pays membres, qui tirent l’essentiel de leurs revenus des hydrocarbures, ont vu leurs finances publiques lourdement affectées par la chute des cours du pétrole, qui ont perdu plus de 60 % depuis la mi-2014.

L’effondrement des cours pétroliers a obligé ces monarchies à prendre des mesures sans précédent, réduisant notamment les subventions sur les carburants et imposant de nouvelles taxes indirectes. D’importants projets économiques ont été reportés.

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