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OTAN : La Russie maintient une « présence militaire considérable » en Syrie

Jens Stoltenberg nuance ainsi le retrait partiel récemment annoncé par les Russes

Jens Stoltenberg, secrétaire général de l'OTAN, en 2010. (Crédit : Magnus Fröderberg/CC BY 2.5 via WikiMedia Commons)
Jens Stoltenberg, secrétaire général de l'OTAN, en 2010. (Crédit : Magnus Fröderberg/CC BY 2.5 via WikiMedia Commons)

La Russie maintient une « présence militaire considérable » en Syrie « malgré l’annonce du retrait partiel » de ses troupes, a déclaré jeudi à Ankara le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg.

« Malgré l’annonce du retrait partiel, nous voyons que la Russie maintient une présence militaire considérable pour soutenir le régime d’Assad en Syrie », a dit M. Stoltenberg, ajoutant que même s’il était « en difficultés », le cessez-le-feu restait « la meilleure base pour une solution pacifique négociée » à la crise.

Le président russe Vladimir Poutine, dont l’armée participe à des opérations en Syrie, avait annoncé le mois dernier le retrait de l' »essentiel » des troupes russes quelques jours après le début d’une trêve entre régime et rebelles initiée par Moscou et Washington.

Mais de multiples violations du cessez-le-feu et la terrible situation humanitaire sur le terrain ont eu un impact majeur sur des pourparlers menés à Genève entre le régime et les principaux groupes de l’opposition. Cette dernière a annoncé qu’elle ne pouvait pas continuer de discuter en Suisse alors que des Syriens mourraient chaque jour, notamment dans des bombardements.

Selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), au moins 44 civils ont été tués mardi dans des frappes vraisemblablement menées par l’aviation syrienne sur deux marchés dans la province d’Idleb (nord-ouest), contrôlée par le Front Al-Nosra, la branche syrienne d’Al-Qaïda, qui est exclu, comme le groupe Etat islamique (EI), de la trêve entrée en vigueur fin février entre régime et rebelles.

En froid depuis le début de la crise ukrainienne, l’Otan et Moscou ont tenu de « franches discussions » mercredi à Bruxelles pour la première fois en près de deux ans, mais sans régler leurs « profonds désaccords ».

Membre de l’Alliance, la Turquie a abattu en novembre dernier un bombardier russe accusé d’avoir violé son espace aérien à la frontière syrienne, provoquant une grave crise diplomatique entre Ankara et Moscou.

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