Israël en guerre - Jour 436

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« Plus de temps à perdre » pour un cessez-le-feu à Gaza – envoyé US à Beyrouth

En visite, Amos Hochstein dit avoir évoqué l’accord-cadre présenté par Joe Biden fin mai avec le président du Parlement Nabih Berri, allié du Hezbollah

L'envoyé spécial américain Amos Hochstein rencontre le Premier ministre intérimaire du Liban à Beyrouth le 14 août 2024. (Crédit :  ANWAR AMRO / AFP)
L'envoyé spécial américain Amos Hochstein rencontre le Premier ministre intérimaire du Liban à Beyrouth le 14 août 2024. (Crédit : ANWAR AMRO / AFP)

Un émissaire du président américain Joe Biden a déclaré mercredi à Beyrouth qu’il n’y avait « plus de temps à perdre » pour parvenir à un cessez-le-feu à Gaza, qui permettrait également une solution diplomatique mettant fin aux hostilités entre le groupe chiite libanais du Hezbollah, soutenu par l’Iran, et Israël.

La visite à Beyrouth d’Amos Hochstein intervient à la veille de la reprise au Qatar de discussions en vue d’une trêve entre Israël et le groupe terroriste palestinien du Hamas.

Hochstein a dit avoir évoqué avec le président du Parlement Nabih Berri, allié du Hezbollah pro-iranien, « l’accord-cadre qui est sur la table pour un cessez-le-feu à Gaza ».

« Nous avons convenu qu’il n’y a plus de temps à perdre … Nous devons profiter de cette fenêtre pour agir et trouver des solutions diplomatiques », a indiqué Hochstein.

« L’accord devrait également permettre une résolution diplomatique au Liban, ce qui empêcherait le déclenchement d’une guerre généralisée », a-t-il ajouté.

Les craintes d’un embrasement régional se sont intensifiées depuis qu’Israël a tué le 30 juillet le bras droit du chef du Hezbollah dans une frappe sur la banlieue sud de Beyrouth, que le mandataire de l’Iran a promis de venger.

De la fumée s’élève après une frappe aérienne israélienne dans le village de Chihine, au sud du Liban, près de la frontière avec Israël, le 13 août 2024. (Kawnat Haju/AFP)

L’Iran a lui aussi promis de riposter à l’assassinat à Téhéran du chef du Hamas, imputé à Israël, mais qui n’a jamais été confirmé ni infirmé par l’État hébreu.

Fin mai, Biden avait présenté un plan en trois phases devant permettre de déboucher sur « un cessez-le-feu durable et la libération de tous les otages » retenus à Gaza depuis le 7 octobre, jour où les terroristes du Hamas ont perpétré un pogrom en Israël, assassinant près de 1 200 personnes et en prenant 251 en otages pour les emmener dans la bande de Gaza.

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