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Rejet de la requête d’Arthur pour retirer des vidéos l’accusant de « comportements sexistes »

Ces vidéos avaient généré des messages injurieux et antisémites, conduisant l'animateur-producteur à déposer une plainte pénale

L'animateur Jacques Essebag, dit Arthur, prononce un discours après avoir reçu le prix Jean-Pierre Bloch lors de la cérémonie de remise des prix Jean-Pierre Bloch de la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA), au palais de l'Elysée à Paris, le 2 avril 2025. (Photo Thibaud MORITZ / AFP)
L'animateur Jacques Essebag, dit Arthur, prononce un discours après avoir reçu le prix Jean-Pierre Bloch lors de la cérémonie de remise des prix Jean-Pierre Bloch de la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA), au palais de l'Elysée à Paris, le 2 avril 2025. (Photo Thibaud MORITZ / AFP)

Le tribunal judiciaire de Paris a rejeté jeudi la requête d’Arthur qui demandait à X et Meta de retirer un montage vidéo l’accusant de « comportements sexistes » avec des participantes à un jeu télévisé qu’il présentait sur TF1 dans les années 2000.

Le tribunal a rejeté cette demande pour des motifs de procédure, estimant que la saisine du juge des référés pour cette requête était « irrecevable », selon le jugement consulté par l’AFP.

Publiées pour la première fois début décembre sur Instagram, les vidéos étaient extraites de l’émission « À prendre ou à laisser » et montraient notamment Arthur embrasser une candidate par surprise ou dire à l’oreille d’une autre qu’il a « toujours aimé les femmes qui (lui) résistaient ».

Repostées sur X, ces vidéos avaient généré des messages injurieux et antisémites, conduisant l’animateur-producteur à déposer une plainte pénale qui a abouti à l’ouverture d’une enquête.

En février, pendant l’audience dans le volet civil, son avocate avait demandé au tribunal d’enjoindre à X et Meta (propriétaire d’Instagram) de supprimer ces vidéos en arguant qu’elles procédaient « d’un montage tronqué ».

Face à elle, l’avocat de X Karim Beylouni avait estimé que les conditions légales de retrait de contenus n’étaient pas réunies, notamment parce que le montage n’avait en lui-même rien d’antisémite et ne procédait pas d’une « manipulation ».

Par la voix de son avocat Alexandre Ghanty, la plateforme Meta avait, elle, indiqué ne pas avoir « d’objection de principe » à la suppression de contenus mais avait dit s’en remettre au tribunal pour apprécier si les conditions légales étaient réunies.

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