Israël en guerre - Jour 431

Rechercher

Sacha Baron Cohen critique la liberté d’expression des néo-nazis sur Facebook

L'acteur a déclaré que l'argument de la liberté d'expression de Facebook est hypocrite et qu'il faudrait bannir du réseau social les antisémites et les néo-nazis

Sacha Baron Cohen arrive à la Vanity Fair Oscar Party le 4 mars 2018, à Beverly Hills, en Californie. (Evan Agostini/Invision/AP)
Sacha Baron Cohen arrive à la Vanity Fair Oscar Party le 4 mars 2018, à Beverly Hills, en Californie. (Evan Agostini/Invision/AP)

JTA — Facebook est-il un paradis de la liberté d’expression ? Voire même un abri pour les néo-nazis?

Cela dépend à qui la question est posée.

Jeudi, le PDG de Facebook Marck Zuckerberg a défendu avec enthousiasme la politique de son entreprise, qui autorise une très large diversité d’opinions. S’exprimant à l’Université Georgetown à Washington, Zuckerberg a invoqué le Premier amendement et le mouvement des droits civiques pour défendre son refus de limiter les discours extrêmes sur le géant des réseaux sociaux.

« Certaines personnes affirment que les réseaux Internet devraient autoriser toute forme d’expression protégée par le Premier amendement, même si le Premier amendement ne s’applique pas expressément aux entreprises, a déclaré Zuckerberg. Je suis fier que nos valeurs à Facebook soient inspirées par la tradition américaine, qui soutient davantage la liberté d’expression que nulle part ailleurs. »

Le PDG de Facebook Mark Zuckerberg s’exprime à l’Université Georgetown, le 17 octobre 2019, à Washington. (AP Photo / Nick Wass)

Mais Sacha Baron Cohen, qui est bien connu pour ses discours irrespectueux (dans ses films « Borat », « Ali G », « Le dictateur » et dans presque n’importe quel rôle qu’il a interprété), a déclaré que Zuckerberg devrait prendre son rôle plus au sérieux en tant que PDG d’une entreprise privée.

Dans une série de tweets, Cohen a écrit que Zuckerberg permettait aux utilisateurs de Facebook de tenir des discours injurieux et autorisait les antisémites.

« S’il était le propriétaire d’un beau restaurant et que 4 néo-nazis entraient dans la salle et parlaient à haute voix de leur intention de tuer de la ‘merde juive’, leur servirait-il un élégant repas avec huit plats ? Ou leur dirait-il de dégager de son restaurant ?, a écrit Cohen. Il a le droit, et le devoir moral, de leur dire de dégager de son restaurant. »

En savoir plus sur :
S'inscrire ou se connecter
Veuillez utiliser le format suivant : example@domain.com
Se connecter avec
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation
S'inscrire pour continuer
Se connecter avec
Se connecter pour continuer
S'inscrire ou se connecter
Se connecter avec
check your email
Consultez vos mails
Nous vous avons envoyé un email à gal@rgbmedia.org.
Il contient un lien qui vous permettra de vous connecter.
image
Inscrivez-vous gratuitement
et continuez votre lecture
L'inscription vous permet également de commenter les articles et nous aide à améliorer votre expérience. Cela ne prend que quelques secondes.
Déjà inscrit ? Entrez votre email pour vous connecter.
Veuillez utiliser le format suivant : example@domain.com
SE CONNECTER AVEC
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation. Une fois inscrit, vous recevrez gratuitement notre Une du Jour.
Register to continue
SE CONNECTER AVEC
Log in to continue
Connectez-vous ou inscrivez-vous
SE CONNECTER AVEC
check your email
Consultez vos mails
Nous vous avons envoyé un e-mail à .
Il contient un lien qui vous permettra de vous connecter.