Israël en guerre - Jour 425

Rechercher

Yazdi : Les Etats-Unis restent « l’ennemi numéro un » de l’Iran

"Les Etats-Unis, et derrière eux Israël, sont à l’origine de tous les complots" et "ils mettent le Proche-Orient en feu pour protéger Israël", a affirmé le chef de l'Assemblée des experts

Capture d'écran Mohammad Yazdi (Crédit : YouTube)
Capture d'écran Mohammad Yazdi (Crédit : YouTube)

Les Etats-Unis restent l' »ennemi numéro un » de l’Iran malgré l’accord nucléaire, a déclaré mardi l’ayatollah Mohammad Yazdi, président ultra-conservateur de l’Assemblée des experts, une des plus puissantes institutions d’Iran, ont rapporté les médias iraniens.

L’accord nucléaire conclu avec les grandes puissances ne doit pas « changer notre politique étrangère, la République islamique d’Iran considère toujours les Etats-Unis comme l’ennemi numéro un », a déclaré l’ayatollah Yazdi dans son discours d’ouverture de la réunion annuelle de l’Assemblée des experts qui s’achève mercredi.

L’Assemblée des experts, composée de 86 religieux élus, est chargée de nommer le guide suprême d’Iran, surveiller son action et éventuellement le démettre.

M. Yazdi a ajouté que l’Iran ne permettrait pas que les Etats-Unis « contrôlent de nouveau » l’économie du pays.

« Les Etats-Unis, et derrière eux Israël, sont à l’origine de tous les complots » et « ils mettent le Proche-Orient en feu pour protéger Israël », a affirmé M. Yazdi, citant la situation en Syrie, en Irak ou encore au Yémen.

Le président Hassan Rouhani, lui-même un religieux membre de l’Assemblée des experts, a entrepris depuis son élection en 2013 une politique de réconciliation avec les pays occidentaux.

L’accord nucléaire conclu le 14 juillet avec les puissances du groupe 5+1 (Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie, Chine et Allemagne), a permis de relancer les relations politiques avec les pays européens avec la visite de plusieurs délégations de haut niveau à Téhéran.

En revanche, malgré les négociations nucléaires et le rôle personnel joué par le Secrétaire d’Etat américain John Kerry, il n’est pas question pour le moment d’une normalisation entre l’Iran et les Etats-Unis, qui ont rompu leurs relations en 1980 après la prise en otage des diplomates américains par des étudiants islamistes.

En savoir plus sur :
S'inscrire ou se connecter
Veuillez utiliser le format suivant : example@domain.com
Se connecter avec
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation
S'inscrire pour continuer
Se connecter avec
Se connecter pour continuer
S'inscrire ou se connecter
Se connecter avec
check your email
Consultez vos mails
Nous vous avons envoyé un email à gal@rgbmedia.org.
Il contient un lien qui vous permettra de vous connecter.
image
Inscrivez-vous gratuitement
et continuez votre lecture
L'inscription vous permet également de commenter les articles et nous aide à améliorer votre expérience. Cela ne prend que quelques secondes.
Déjà inscrit ? Entrez votre email pour vous connecter.
Veuillez utiliser le format suivant : example@domain.com
SE CONNECTER AVEC
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation. Une fois inscrit, vous recevrez gratuitement notre Une du Jour.
Register to continue
SE CONNECTER AVEC
Log in to continue
Connectez-vous ou inscrivez-vous
SE CONNECTER AVEC
check your email
Consultez vos mails
Nous vous avons envoyé un e-mail à .
Il contient un lien qui vous permettra de vous connecter.