Israël en guerre - Jour 537

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2 familles d’otages veulent connaître le contenu exact de l’accord

Les familles de Matan Zangauker et Nimrod Cohen demandent à la Haute Cour de révéler le texte intégral de l'accord conclu avec le Hamas

Einav Zangauker, la mère de Matan Zangauker, l'un des otages détenus dans la bande de Gaza depuis le pogrom du 7 octobre 2023 perpétré par des terroristes palestiniens, s'exprimant lors d'une manifestation appelant à la libération de tous les otages devant le ministère de la Défense, à Tel Aviv, le 25 janvier 2025. (Crédit : Jack Guez/AFP)
Einav Zangauker, la mère de Matan Zangauker, l'un des otages détenus dans la bande de Gaza depuis le pogrom du 7 octobre 2023 perpétré par des terroristes palestiniens, s'exprimant lors d'une manifestation appelant à la libération de tous les otages devant le ministère de la Défense, à Tel Aviv, le 25 janvier 2025. (Crédit : Jack Guez/AFP)

Les familles des otages Matan Zangauker et Nimrod Cohen ont déposé un recours dimanche devant la Haute Cour, demandant que tous les détails de l’accord de cessez-le-feu soient révélés au grand public.

Le recours stipule que les familles des otages, en particulier de ceux qui ne devraient pas être libérés au cours de la première phase de l’accord, « ont le droit de connaître les détails de l’accord, qui ont une incidence directe sur la vie de leurs proches ».

La mère de Matan, Einav, ainsi que les parents de Nimrod, Vicky et Yehuda, et ses frères et sœurs, affirment que le gouvernement ne doit pas non plus retarder la mise en œuvre des prochaines étapes de l’accord.

« Les requérants sont dans l’ignorance et dans une grande incertitude quant aux détails de l’accord », peut-on lire dans le recours.

« En outre, les requérants sont très inquiets et préoccupés par la possibilité que la deuxième phase de l’accord ne soit pas mise en œuvre du tout, ou que sa mise en œuvre soit reportée pendant une période extrêmement longue, ce qui pourrait nuire au bien-être de leurs proches. »

« Le temps qui passe met en danger la vie des otages », indique le recours.

Yehuda Cohen, père de l’otage israélien Nimrod Cohen, lors d’un rassemblement appelant à la libération des otages retenus en captivité depuis le pogrom du 7 octobre, à Tel Aviv le 28 décembre 2024. (Crédit : Jack Guez/AFP)

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