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Agam Berger, Arbel Yehud, Gadi Mozes et 5 Thaïlandais libérés de Gaza après 482 jours de captivité

Une soldate exhibée en uniforme factice de Tsahal ; 2 civils israéliens et 5 Thaïlandais - Thenna Pongsak, Sathian Suwannakham, Sriaoun Watchara, Seathao Bannawat, Rumnao Surasak - libérés au milieu d'une foule chaotique

Libération des otages Agam Berger, Arbel Yehoud et Gadi Mozes, à Gaza, le 30 janvier 2025. (Crédit : capture d'écran / AFP)
Libération des otages Agam Berger, Arbel Yehoud et Gadi Mozes, à Gaza, le 30 janvier 2025. (Crédit : capture d'écran / AFP)

Huit autres otages capturés lors du pogrom du 7 octobre 2023 – les Israéliens Agam Berger, 20 ans, Arbel Yehud, 29 ans, et Gadi Mozes, 80 ans, ainsi que les ressortissants thaïlandais Thenna Pongsak, Sathian Suwannakham, Sriaoun Watchara, Seathao Bannawat et Rumnao Surasak – ont été libérés jeudi par des groupes terroristes palestiniens dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu conclu avec le Hamas. Ils sont rentrés en Israël après 482 jours de captivité dans la bande de Gaza.

Agam et les otages thaïlandais étaient détenus par le groupe terroriste palestinien du Hamas, tandis qu’Arbel et Gadi étaient détenus par le Jihad islamique palestinien.

Agam, une tazpitanit – soldate de surveillance de l’armée israélienne -, a été enlevée à la base militaire de Nahal Oz, tandis qu’Arbel et Gadi ont tous deux été enlevés à leur domicile dans le kibboutz Nir Oz.

Les otages thaïlandais faisaient partie des 31 ressortissants étrangers enlevés lors de l’assaut barbare et sadique du Hamas et qui travaillaient en Israël, dont un grand nombre comme ouvriers agricoles dans le centre agricole d’Israël, près de la frontière avec Gaza, y compris, semble-t-il, à Nir Oz.

Auparavant, sept otages, dont quatre soldates et trois civiles, avaient été libérées en deux vagues depuis l’entrée en vigueur de l’accord passé avec le Hamas, dimanche dernier. Agam a été enlevée en même temps que les quatre autres soldates. Elles ont été détenues ensemble par le Hamas jusqu’à ce qu’elles soient relâchées samedi.

Agam a été libérée jeudi matin à Jabaliya, dans le nord de Gaza, lors d’une cérémonie similaire à celle que ses camarades ont dû subir il y a cinq jours, entourée de terroristes du Hamas masqués.

La soldate Agam Berger, prise en otage, escortée hors d’un bâtiment endommagé vers une scène entourée de terroristes du Hamas, avant d’être remise à la Croix-Rouge, à Jabaliya, au nord de Gaza, le 30 janvier 2025. (Crédit : Omar al-Qattaa/AFP)

Elle aussi a été vêtue d’une tenue olive censée ressembler à un uniforme de Tsahal et a reçu un « sac-cadeau » du Hamas ainsi qu’un certificat encadré. Elle a salué la foule de Gazaouis rassemblée devant la scène avant d’être conduite par des terroristes armés jusqu’aux représentants de la Croix-Rouge.

Avant sa remise en liberté, des représentants de la Croix-Rouge ont été vus signant des documents sur la scène.

La Croix-Rouge a transporté l’otage libérée vers les forces de Tsahal et de l’agence de sécurité intérieure du Shin Bet à l’intérieur de Gaza. Elle a ensuite été escortée hors de la bande de Gaza vers une installation militaire près de la frontière pour retrouver ses parents et subir une première évaluation par des médecins et des spécialistes en santé mentale.

Elle est sortie d’un véhicule de la Croix-Rouge dans les locaux de Tsahal, ne portant plus le faux uniforme militaire que le Hamas l’avait forcée à revêtir pour son transfert. Une vidéo publiée par l’armée la montre en train de prendre dans ses bras une médecin de Tsahal avant de monter dans un autre véhicule pour quitter la bande de Gaza.

L’armée a également diffusé des images d’Agam retrouvant ses parents, Shlomi et Merav, sur le site militaire. De là, elle a été héliportée avec ses parents au centre hospitalier Rabin de Petah Tikva.

Peu après sa libération, la famille d’Agam a publié une déclaration exprimant sa gratitude envers les forces de sécurité et la population.

« Nous tenons à remercier les forces de sécurité ainsi que l’ensemble du peuple israélien pour leur soutien et leurs prières. Agam et notre famille peuvent maintenant entamer le processus de guérison », a déclaré la famille dans un communiqué après que Tsahal a annoncé qu’Agam et sa famille avaient été réunies.

L’otage libérée Agam Berger et ses parents Shlomi et Merav, dans une installation de l’armée israélienne, près de la frontière de Gaza, le 30 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)

Originaire de Holon, dans le centre d’Israël, Agam était arrivée à la base de Nahal Oz deux jours seulement avant l’assaut du 7 octobre. Ce matin-là, elle n’a eu le temps d’appeler que son père, Shlomi, pour lui dire qu’elle était sous le feu de l’ennemi.

Elle a été identifiée plus tard dans la journée dans une vidéo publiée sur le compte Telegram du Hamas, dans laquelle on la voit tirée vers une voiture, encore vêtue de son pyjama.

Shlomi et Merav Berger assistant à la libération de leur fille Agam Berger, dans une installation militaire près de Reïm, le 30 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)

Agam est l’une des sept soldates qui ont été enlevées de cette base.

L’une des soldates de surveillance enlevées, Ori Megidish, a été sauvée vivante par la suite, et le corps d’une deuxième, Noa Marciano, a été retrouvé après avoir été assassinée en captivité.

Les soldates, ex-otages, célèbrent la libération de leur amie

Les quatre autres soldates – Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag – ont demandé à rester à l’hôpital quelques jours de plus pour être aux côtés d’Agam au début de sa convalescence.

Les quatre jeunes femmes ont confié à des amis et à leur famille qu’il était très difficile d’avoir laissé Agam en captivité ; au moins l’une d’entre elles a demandé à pouvoir rester avec Agam plutôt que d’être libérée.

Les otages libérées (de gauche à droite) Liri Albag, Naama Levy, Daniella Gilboa et Karina Ariev observant la libération d’Agam Berger de la captivité du Hamas à Gaza, depuis le centre hospitalier Rabin, le 30 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)

Jeudi matin, les jeunes femmes ont assisté à la libération de leur amie et camarade de la captivité du Hamas et l’ont retrouvée peu après son arrivée au centre hospitalier Rabin.

La Dr. Lena Koren Feldman, directrice de l’hôpital Rabin, a déclaré que lorsque les quatre anciennes otages ont vu Agam être libérée, « elles ont poussé des cris de joie et se sont montrées très excitées ».

« Son retour marque une étape essentielle dans leur guérison collective », a souligné Dr. Feldman.

Sur la Place des Otages, à Tel Aviv, des centaines de personnes se sont rassemblées avant les libérations, jeudi matin, et ont applaudi en regardant les images en direct de la libération d’Agam sur grand écran.

Des personnes réagissant en regardant la diffusion de la libération de la soldate israélienne Agam Berger, l’une des huit otages devant être libérés aujourd’hui dans le cadre d’un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, à Tel Aviv, Israël, le 30 janvier 2025. Un certain nombre de femmes ont tressé leurs cheveux en signe de soutien à Agam. (Crédit : Oded Balilty/AP)

De nombreuses personnes dans la foule avaient les cheveux tressés en hommage à Agam, qui tressait les cheveux de ses compagnes otages, parmi lesquelles les enfants libérés lors d’une trêve d’une semaine conclue en novembre 2023.

Les membres de sa famille et ses amis se sont également rassemblés au domicile d’Agam, à Holon, pour célébrer son retour en Israël, en l’acclamant, en se réjouissant et en chantant alors que des images montraient sa libération par le Hamas.

De nombreux membres de sa famille ont brandi des drapeaux d’Israël et ont dansé avec un rouleau de la Torah apporté à la maison.

La famille et les amis de la soldate de surveillance de l’armée israélienne Agam Berger, libérée par le Hamas le 30 janvier 2025, après 482 jours de captivité, célébrant sa libération. (Crédit : Capture d’écran ; utilisée conformément à l’article 27a de la loi sur le droit d’auteur)

« C’est le moment le plus heureux de ma vie », a déclaré l’un des membres de la famille à la chaîne N12.

« Nous pouvons maintenant reprendre notre respiration. »

« C’est une héroïne », a déclaré un autre, alors que des images la montrent en train de défiler sur la scène de Jabaliya.

« Elle est debout, elle marche. »

Sept personnes libérées lors d’une cérémonie organisée par différents groupes terroristes à Khan Younès

Arbel et Gadi, ainsi que les cinq otages thaïlandais, ont été libérés lors d’une remise incontrôlée, chaotique et dangereuse à Khan Younès, dans le sud de Gaza, jeudi en début d’après-midi, devant la maison détruite du chef du Hamas désormais éliminé, Yahya Sinwar, entourés de centaines de terroristes masqués et d’une foule nombreuse.

Les sept personnes sont arrivées dans un grand convoi qui s’est déplacé lentement à travers la foule, avec des dizaines de terroristes armés et masqués à l’arrière des camions. D’autres véhicules étaient équipés de mitrailleuses lourdes. Beaucoup d’entre eux agitaient des drapeaux du Hamas et du Jihad islamique palestinien.

Ils ont ensuite été transférés à la Croix-Rouge à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza. Ils ont été conduits à travers une foule bruyante de Palestiniens qui tenaient des caméras pour filmer la scène, entourés de terroristes masqués.

Dans un communiqué publié immédiatement après la libération, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré que ce transfert chaotique était inacceptable.

« Je considère avec une grande sévérité les scènes choquantes qui se sont déroulées lors de la libération de nos otages », a déclaré Netanyahu.

« C’est une nouvelle preuve de la cruauté inimaginable du groupe terroriste du Hamas. »

Netanyahu a ajouté qu’il « exigeait des négociateurs qu’ils fassent en sorte que des scènes aussi horribles ne se reproduisent pas et qu’ils garantissent la sécurité de nos otages ».

« Quiconque ose faire du mal à nos otages – le paiera. »

Un véhicule du Jihad islamique palestinien transportant vraisemblablement des otages devant être remis à la Croix-Rouge, dans la ville de Khan Younès, au sud de la bande de Gaza, le 30 janvier 2025 (Crédit : Capture d’écran/YouTube)

La chaîne N12 a rapporté qu’Israël avait pris contact avec les médiateurs de l’accord de cessez-le-feu pendant la période sensible de la remise des otages pour se plaindre des conditions terrifiantes et inhumaines auxquelles les personnes enlevées étaient soumises.

Les sept personnes ont été escortées à travers la frontière de Gaza par les forces spéciales israéliennes, après avoir été remises à celles-ci par la Croix-Rouge. Comme Agam, ils subiront des examens initiaux dans un centre de Tsahal situé près de la frontière.

Arbel et Gadi retrouveront les membres de leur famille dans les locaux militaires, tandis que les cinq ressortissants thaïlandais rejoindront les autorités thaïlandaises.

La chaîne N12 a également rapporté que Gadi serait transporté à l’hôpital Ichilov de Tel Aviv.

Plus tôt dans la matinée de jeudi, le Jihad islamique palestinien a publié une vidéo de propagande montrant Arbel et Gadi, tous deux enlevés à Nir Oz le 7 octobre, en train de se prendre dans les bras avant d’être libérés. On ne sait pas exactement quand cette vidéo a été filmée.

Al Jazeera a indiqué que c’était la première fois qu’Arbel voyait un autre otage depuis son enlèvement il y a plus de quinze mois.

La compagne de Gadi, Efrat Katz, a été tuée lors des massacres du 7 octobre, probablement par des tirs de Tsahal. Sa fille Doron Katz-Asher a été enlevée avec ses petites-filles Raz, alors âgée de 5 ans, et Aviv, alors âgée de 2 ans. Les trois survivantes ont été libérées lors de la trêve de novembre 2023.

Mercredi, la famille Mozes a déclaré avoir « reçu avec une grande excitation la merveilleuse nouvelle du retour de notre Gadi bien-aimé ».

La maison d’Ariel Cunio et d’Arbel Yehud, otages emmenés à Gaza par les terroristes lors du pogrom perpétré par le Hamas du 7 octobre 2023, vide après près de quinze mois de guerre dans le kibboutz Nir Oz, dans le sud d’Israël, le 5 décembre 2024. (Crédit : Ohad Zwigenberg/AP)

Arbel a été enlevée à Nir Oz avec son partenaire Ariel Cunio, qui est toujours retenu en otage à Gaza. Elle a grandi dans ce kibboutz voisin de Gaza, où sa famille vit depuis trois générations.

Elle devait initialement être libérée dans le cadre de l’échange du week-end dernier, étant donné qu’elle est une civile, mais le Hamas avait finalement relâché les quatre soldates.

Son sort a brièvement été l’un des principaux points d’achoppement dans la mise en œuvre de l’accord, Israël ayant bloqué le retour des Palestiniens dans le nord de la bande de Gaza dimanche. En vertu de l’accord de cessez-le-feu et de libération des otages, le groupe terroriste était tenu de libérer en priorité les femmes civiles.

Le groupe supplémentaire d’otages libérés jeudi (en plus des trois autres qui devraient l’être samedi) a été ajouté après qu’un différend concernant la non-libération d’Arbel par le Hamas dans le groupe précédent a été résolu tôt lundi.

Cependant, le Hamas a accusé Israël de compromettre l’accord en retardant les livraisons d’aide, une allégation qu’Israël a rapidement rejetée en la qualifiant de « fake news ».

L’accord de cessez-le-feu a permis d’acheminer des camions d’aide à Gaza, où la guerre aurait provoqué une crise humanitaire de longue durée.

Le COGAT (Coordinateur des activités gouvernementales dans les Territoires palestiniens), a qualifié l’affirmation faite par les responsables du Hamas de « fake news ».

Entre dimanche et mercredi à 13 heures, « 3 000 camions sont entrés dans Gaza », a souligné un porte-parole.

Des personnes passant devant des camions d’aide humanitaire sur un parking du Caire alors qu’elles attendent de pouvoir traverser le poste-frontière de Rafah, entre l’Égypte et la bande de Gaza, le 26 janvier 2025. (Crédit : Amr Nabil/AP)

« L’accord stipule qu’ils devraient atteindre 4 200 camions sous sept jours. »

Le texte intégral de l’accord – conclu sous la médiation du Qatar, de l’Égypte et des États-Unis – n’ayant pas été rendu public, il n’a pas été possible d’en vérifier les termes.

Cinq otages thaïlandais libérés en dehors de l’accord de trêve

Les huit ressortissants thaïlandais toujours détenus à Gaza sont Surasak Lamnau, Pingsa Nattapong, Bannawat Seathao, Sathian Suwankam, Sriaoun Watchara et Pongsak Tanna, ainsi que Sudthisak Rinthalak et Sonthaya Oakkharasr, dont le décès a été confirmé.

On ignorait alors quels otages allaient être libérés jeudi.

Une zone spéciale a été aménagée à l’hôpital du centre d’Israël pour accueillir les anciens otages, et les médias israéliens ont rapporté que les restaurants thaïlandais de Tel Aviv se préparaient à leur fournir des plats traditionnels à leur retour.

Des dizaines de milliers d’ouvriers d’Asie du Sud-Est travaillaient en Israël au moment de l’assaut du Hamas. Les ressortissants thaïlandais constituaient de loin le groupe le plus important et le plus touché.

Au cours de l’accord de trêve de novembre 2023, 24 otages thaïlandais avaient été libérés.

Wiwwaeo Sriaoun, la mère de Watchara Sriaoun, un ouvrier agricole thaïlandais retenu en otage à Gaza, regardant les informations en attendant la confirmation de sa libération, à son domicile dans la province d’Udon Thani, dans le nord-est rural de la Thaïlande, le 30 janvier 2025. (Crédit : Lillian Suwanrumpha/AFP)

Ces otages faisaient partie des 251 Israéliens et étrangers enlevés le 7 octobre 2023, lorsque quelque 6 000 Gazaouis dont 3 800 terroristes dirigés par le Hamas ont pris d’assaut le sud d’Israël et tué plus de 1 200 personnes, principalement des civils.

En échange des trois otages israéliens libérés jeudi, Israël libérera 110 prisonniers de sécurité palestiniens – 30 pour chaque civil, et 50 pour Agam, dont 30 terroristes condamnés à perpétuité. Les 30 détenus libérés en échange de Gadi comprennent trois condamnés à perpétuité.

Au total, 33 « otages humanitaires » devraient être libérés de Gaza au cours de la phase initiale de 42 jours de l’accord avec le Hamas, au cours desquels les combats ont cessé dans la bande de Gaza.

Alors que ces otages – femmes, enfants, personnes âgées ou malades – sont progressivement libérés, Israël doit relâcher quelque 1 904 prisonniers palestiniens incarcérés pour atteinte à la sécurité en Israël, dont plus d’une centaine condamnés à perpétuité pour des attentats terroristes meurtriers.

Les otages israéliennes Liri Albag, Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy saluant sur une scène avant que des terroristes du Hamas ne les remettent à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : AFP)

Les étapes ultérieures de l’accord en trois phases font l’objet de négociations dont l’objectif déclaré est de parvenir à un « calme durable » dans l’enclave, ainsi qu’à la libération des derniers otages détenus à Gaza, à la libération d’autres prisonniers de sécurité palestiniens et au retrait israélien de la bande de Gaza.

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