Israël en guerre - Jour 537

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Dans une cérémonie de propagande du Hamas, Eli Sharabi dit être « très heureux » de rejoindre son épouse et ses filles

Des propos tenus avant d'apprendre peu après, en Israël, qu'elles ont été assassinées le 7 octobre ; Sharabi a été l'un des trois otages israéliens à recouvrer la liberté samedi matin

Des terroristes armés du Hamas palestinien faisant défiler les otages israéliens (de gauche à droite) Ohad Ben Ami, Or Levy et Eli Sharabi sur une scène avant de les remettre à une équipe de la Croix-Rouge, à Deir el-Balah, dans le centre de Gaza, le 8 février 2025. (Crédit : Eyad Baba/AFP)
Des terroristes armés du Hamas palestinien faisant défiler les otages israéliens (de gauche à droite) Ohad Ben Ami, Or Levy et Eli Sharabi sur une scène avant de les remettre à une équipe de la Croix-Rouge, à Deir el-Balah, dans le centre de Gaza, le 8 février 2025. (Crédit : Eyad Baba/AFP)

Des images de la cérémonie qui a eu lieu samedi matin à Gaza – une cérémonie organisée par le Hamas à des fins de propagande – montrent l’otage Eli Sharabi contraint de s’exprimer sur scène avant de retourner en Israël pour y apprendre la mort de son épouse et de ses trois filles à l’occasion du pogrom qui avait été commis par le groupe terroriste dans le sud de l’État juif, le 7 octobre 2023.

Trois otages israéliens ont été rapatriés de l’enclave côtière dans la matinée de samedi.

Alors qu’un homme armé du Hamas, un masque sur le visage, lui demande en hébreu ce qu’il ressent, Sharabi dit dans le micro que « je me sens très, très heureux de retrouver aujourd’hui ma famille et mes amis, de revenir auprès de mon épouse et de mes filles. »

Sharabi avait été kidnappé dans son habitation du kibboutz Beeri lors du massacre commis par le Hamas. Son épouse Lianne et ses filles Noiya, 16 ans, et Yahel, 13 ans, avaient été assassinées alors qu’elles s’étaient réfugiées dans la pièce blindée de la maison.

Les deux autres otages qui ont été libérés samedi dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu qui a été conclu avec le Hamas, Ohad Ben Ami et Or Levy, ont également été obligés de s’exprimer sur scène, munis de leurs « certificats de libération » – dorénavant omniprésents. Ils ont ensuite été remis tous les trois à la Croix rouge qui a comme d’habitude simplement servi d’escorte.

Avec des propos qui sont considérés comme de la propagande de la part du groupe terroriste du Hamas, la majorité des médias israéliens n’ont pas fait état des paroles prononcées par les deux ex-captifs.

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