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La Bourse de Tel Aviv de nouveau en hausse

Le chômage a atteint des sommets historiques ; l'agence de notation mondiale S&P prédit une récession mondiale, mais affirme qu'Israël est en bonne posture

Luke Tress est le vidéojournaliste et spécialiste des technologies du Times of Israël

La Bourse de Tel Aviv, le 25 décembre 2018. (Crédit : Adam Shuldman/Flash90)
La Bourse de Tel Aviv, le 25 décembre 2018. (Crédit : Adam Shuldman/Flash90)

La Bourse de Tel-Aviv a terminé la semaine en beauté et a gagné plusieurs points de pourcentage lors de la séance de jeudi pour récupérer une partie de ses pertes.

L’indice TA-35 a progressé de 4,1 % jeudi, les banques ayant augmenté de 8,1 %, l’immobilier de 7,4 % et les sociétés gazières et pétrolières de 11,6 %.

La bourse a globalement baissé cette semaine, mais les pertes ont été moins importantes que les semaines précédentes. L’indice TA-35 a baissé de 1,7 % pour la semaine, les banques ayant baissé de 6,1 %, l’immobilier de 11,4 % et les compagnies pétrolières et gazières de 12,6 %.

L’indice TA-35 a chuté de 28,22 % au cours du mois dernier.

La pandémie de coronavirus a ébranlé les marchés financiers du monde entier, les dépenses étant réduites par les restrictions gouvernementales, les fermetures d’entreprises, la limitation des mouvements, les craintes des consommateurs et la chute des actions.

L’agence de notation de financière Standard & Poor’s a annoncé jeudi une bonne nouvelle pour l’économie israélienne, à savoir qu’Israël devrait résister à la tempête et s’en sortir mieux que les autres économies. L’agence a déclaré que les prévisions de croissance d’Israël avant la crise pour l’année de 3 % étaient plus élevées que celles des pays européens, et que l’affaiblissement du shekel stimulerait les exportations du pays.

L’agence a prédit que le PIB d’Israël tomberait à environ 2 % de croissance, une évaluation plus optimiste que celle du ministère des Finances israélien, qui prévoyait une croissance de 0 % pour 2020. S&P a souligné qu’un coup supplémentaire porté à l’économie nationale, tel qu’un événement géopolitique majeur ou un effondrement du marché immobilier, pourrait faire basculer Israël dans une récession plus grave.

S&P a prédit une récession mondiale due à la pandémie, avec une augmentation annuelle du PIB de 1 % à 1,5 %. Une récession est définie comme une baisse de la croissance économique pendant deux trimestres consécutifs ou plus.

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