La frappe à Beyrouth qui a éliminé le commandant du Hezbollah a également tué deux autres hauts responsables
Emanuel Fabian est le correspondant militaire du Times of Israël.

Un immeuble résidentiel dont les deux derniers étages ont été touchés par une frappe israélienne, dans le quartier de Ghobeiri, dans la banlieue sud de Beyrouth, le 24 septembre 2024. (Crédit : Anwar Amro/AFP)
L’armée israélienne affirme que la frappe aérienne de mardi sur Beyrouth, qui a tué Ibrahim Qubaisi, le commandant de la division des fusées et des missiles du Hezbollah, a également permis d’éliminer son adjoint et un autre commandant de haut rang.
La frappe sur la capitale libanaise a tué Abbas Sharafeddine, l’adjoint de Qubaisi, et Hussein Ezzeddine, un haut commandant de la division des missiles, qui, selon Tsahal, était proche du chef militaire assassiné du Hezbollah, Fuad Shukr.
Une autre frappe effectuée ce jour-là a tué un autre haut responsable de la division des missiles du Hezbollah, ajoute l’armée israélienne.