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« Miguel », la nouvelle série israélienne de Canal+

L’histoire d’un jeune homosexuel israélien de 23 ans qui souhaite réaliser son rêve : adopter un enfant. Jusqu’à ce que l’expérience tourne au cauchemar

« Miguel », la nouvelle série israélienne de Canal+, diffusée le vendredi soir sur la chaine Canal + Séries. (Crédit photo : Canal+)
« Miguel », la nouvelle série israélienne de Canal+, diffusée le vendredi soir sur la chaine Canal + Séries. (Crédit photo : Canal+)

Révélée lors du festival Canneseries 2018, « Miguel » est la nouvelle série israélienne diffusée par le groupe Canal+.

Disponible en intégralité sur la plateforme MyCanal, les trois premiers épisodes de la série ont également été diffusés ce vendredi sur la chaine Canal + Séries. Les trois suivants le seront vendredi prochain.

Écrite par Tom Salama et Daphna Levin, « Miguel » suit Tom (incarné par l’acteur Ran Danker), un jeune homosexuel israélien de 23 ans, qui souhaite réaliser son rêve : adopter un enfant.

Il part alors au Guatemala chercher Miguel, un orphelin très têtu âgé de 5 ans. Le rêve se transforme vite en cauchemar, avant même leur départ en Israël. L’enfant reste buté ; son père adoptif est sur le point de jeter l’éponge.

De là devra naîtra malgré tout, au fil du temps, une relation entre un père et son fils. Seize ans plus tard, l’enfant repart au Guatemala, sur la trace de ses racines. Tom fera tout pour empêcher son fils de découvrir le secret qu’il lui cache depuis toutes ces années.

Basée sur l’histoire du co-auteur de la série, « Miguel » explore ainsi des sujets de société tels que l’adoption homoparentale et ses difficultés et l’éloignement de la terre natale.

https://web.facebook.com/watch/?v=1248668851966853

Ces dernières années, de nombreuses autres séries israéliennes ont été diffusées à l’étranger. Parmi les plus marquantes : « Fauda », « False Flag », « Hatufim » ou « Hostages ».

L’an dernier, Frédéric Lavigne, directeur artistique du festival Séries Mania de Lille, expliquait que les séries israéliennes parvenaient à « toucher tout le monde en parlant des relations hommes-femmes ou du social ».

La société israélienne possède beaucoup d’atouts qui favorisent la créativité de ses réalisateurs : « les feuilletons nés dans l’État hébreu utilisent beaucoup la singularité de leur situation locale, conflits, armée, espionnage, religion, une dimension au centre d’une autre série présentée à Séries Mania, « Autonomies », analysait Le Parisien.

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