Moti Elkabetz, 40 ans : Papa poule et « clown du groupe WhatsApp familial »
Il a été assassiné au festival de musique électronique Psyduck, le 7 octobre
Moti Elkabetz, originaire de Yated et âgé de 40 ans, a été assassiné par les terroristes du Hamas au festival de musique électronique Psyduck, qui était organisé à proximité du kibboutz Nirim, le 7 octobre.
Il a été tué aux côtés de son neveu de 17 ans, Matan Rosenberg et de son beau-frère, Noi Maudi.
Il a été enterré, encore aux côtés de son beau-frère, au moshav Avshalom.
Il laisse derrière lui son épouse Sivan ; ses fils, Idan (12 ans) et Noam (11 ans), sa fille Romi (cinq ans) ; ses parents, Mazel et Roni et sa fratrie, Lior, Ran, Peri et Linoy.
Elkabetz travaillait dans le secteur de l’agriculture et il était un fervent supporter de l’équipe de football de l’Hapoel Beer Sheva, ont raconté ses amis qui ont fait remarquer également qu’il adorait cuisiner et qu’il était « le clown du groupe familial sur WhatsApp ».
Il amenait ses fils aux matchs de l’Hapoel Beer Sheva. La famille a découvert, après sa mort, que sur l’une des dernières photos qu’il avait prises lors d’un match, Idan portait un maillot sur lequel il y avait le numéro « 7 » et que Noam portait un maillot du numéro « 10 » – ce qui devait être la date de sa mort.
Sivan, son épouse, a posté une photo sur Facebook où elle est assise par terre entre les tombes de son mari, Moti, et de son frère, Noi : « Assise entre mes deux anges ; je sens que vous êtes à côté de moi ; vous me manquez et je ne parviens pas à réaliser ».
Il a été écrit sur sa stèle : « Unique dans ton amour inconditionnel, tu resteras toujours dans nos cœurs, pur et bon de cœur, Dieu te protège… Tu nous as été arraché trop tôt ; il y a un manque à l’intérieur de nous et de la tristesse dans nos cœurs. Tu étais un ange et tu resteras un ange ».
Sivan a ultérieurement écrit que « nous t’aimons et tu nous manques, tu nous manques tellement, à toi, Moti, mon mari bien-aimé et à toi Noi, mon frère, reposez en paix… Mon ange, ma vie, mon cœur, je t’aime, tu me manques, je souffre tellement de t’avoir perdu ».