Paris : Un nouveau rassemblement pour les enfants otages à Gaza ce dimanche
Plusieurs rassemblements et initiatives visant à sensibiliser sur le sort des otages ont eu lieu ces dernières semaines à Paris

Dimanche 19 novembre, de 16h à 18h une manifestation se déroulera place Saint-Michel, dans le centre de Paris, pour demander la libération des otages israéliens, binationaux et étrangers actuellement détenus à Gaza par le groupe terroriste palestinien du Hamas.
L’évènement sera dédié en particulier aux 38 otages enfants, à l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant le 20 novembre.
Une installation suivie d’un happening se tiendra à 17h30.
L’évènement est organisé par le Forum des familles des otages et des disparus.
Plusieurs rassemblements et initiatives visant à sensibiliser sur le sort des otages ont eu lieu ces dernières semaines à Paris, et des proches d’otages ont aussi été reçus à l’Assemblée nationale.
Le 31 octobre, une « soirée d’unité pour la libération des otages à Gaza » a eu lieu à la synagogue de la Victoire.
Dimanche 22 octobre, des centaines de personnes se sont rassemblées derrière le Champ-de-Mars, non loin de la Tour Eiffel, autour d’une longue table symbolique et des dizaines de chaises vides.
Nous étions 5000 à l’appel de @uejf demander la libération des otages détenus par le Hamas.
Ce qui nous a réuni, ce n’est pas une quelconque chapelle, mais nos valeurs humanistes, de refus du terrorisme et de lutte contre l’antisémitisme. pic.twitter.com/SaPJ9JUnHE
— Samuel Lejoyeux (@SLejoyeux) October 22, 2023
Le jeudi 26 octobre, trente poussettes vides ont été installées sur la pelouse du Champ-de-Mars à l’initiative du Crif, symbolisant cette fois les enfants et bébés enlevés par l’organisation terroriste. Des affiches avec les photos de jeunes captifs avaient été placées dans les poussettes, dont celles d’Aloni, 5 ans, Ela, 8 ans, ou encore Erez, 12 ans. Certains otages sont des nouveaux-nés, comme Kfir, 9 mois.
Des photos des otages ont aussi été projetées sur les façades des mairies de Paris Centre, des 7e et 19e arrondissements, sur l’esplanade du Trocadéro, plus précisément sur un mur de la Cité de l’architecture et du patrimoine, ou encore dans les 3e et 11e arrondissements de Paris, dans le cadre de la campagne #BringThemHome (« Ramenons-les à la maison »).
Ce soir @Le_CRIF accompagne une initiative citoyenne de projection des portraits des otages du Hamas sur les façades des mairies parisiennes, du 7ème, de Paris centre et du 19ème.
N'oublions pas les otages. La France doit faire tout ce qu'elle peut pour les ramener chez eux.… pic.twitter.com/mKyraQPl3Z— CRIF (@Le_CRIF) October 26, 2023
Ce soir sur la façade de la @MParisCentre les portraits des otages des terroristes du H’amas. Parmi eux des bébés, des enfants, des personnes âgées, des Français aussi. Et de nombreux militants de la paix.
Les otages doivent être libérés.#BringThemHome #BringThemHomeNow pic.twitter.com/qLDGunlr2x— Ariel Weil (@ArielWeilT) October 26, 2023
Parce qu’ils doivent rentrer à la maison , les otages du 7 octobre détenus par le Hamas ne doivent pas disparaître de nos consciences. Leurs visage, nom et âge ont illuminé la façade de la mairie @paris19 ce soir. #BringThemHome #BringThemHomeNow pic.twitter.com/fwLEHyqPsu
— François Dagnaud (@FrancoisDagnaud) October 26, 2023
Last night in Paris. #BringThemHome pic.twitter.com/PHiefCTlpK
— David Marcus (@davidmarcus) October 26, 2023
La guerre a éclaté après le massacre du 7 octobre perpétré par le Hamas. Lors de cette attaque barbare menée contre Israël, près de 3 000 terroristes ont fait irruption en Israël depuis la bande de Gaza par voie terrestre, aérienne et maritime. Ils ont tué plus de 1 200 personnes, dont une majorité de civils, au cours de raids sur plus de 20 communautés frontalières près de la bande de Gaza, massacrant des familles entières dans leurs maisons et au moins 364 festivaliers lors d’une rave en plein air. Les terroristes ont également enlevé au moins 240 personnes, dont des femmes, des enfants et des personnes âgées, qu’ils ont entraînées dans la bande de Gaza où elles sont toujours retenues captives.