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Une infirmière de l’Oregon licenciée après avoir justifié l’assassinat de Shiri Bibas sur les réseaux sociaux

La femme avait également utilisé les mots « vermines » et « rats » pour parler des Juifs, qu'elle a juré de ne pas soigner

Une infirmière de l'Oregon, identifiée comme étant Camesha Hart, sur une photo non datée publiée au moment où elle est accusée de commentaires antisémites et pro-Hamas sur les réseaux sociaux. (Crédit : X / @StopAntisemites / utilisée conformément à l'article 27a de la loi sur le droit d'auteur)
Une infirmière de l'Oregon, identifiée comme étant Camesha Hart, sur une photo non datée publiée au moment où elle est accusée de commentaires antisémites et pro-Hamas sur les réseaux sociaux. (Crédit : X / @StopAntisemites / utilisée conformément à l'article 27a de la loi sur le droit d'auteur)

Une infirmière de Portland, aux États-Unis, a été licenciée de l’Oregon Health and Science University Hospital (OHSU) après avoir laissé des commentaires violemment antisémites sur les réseaux sociaux, rapporte le site d’information Ynet.

La professionnelle de santé, identifiée sous le nom de Camesha Hart et âgée de 51 ans, a fait plusieurs commentaires depuis son compte Instagram, allant jusqu’à estimer que Shiri Bibas, prise en otage par le Hamas avec ses jeunes deux enfants le 7 octobre 2023, était une « cible légitime » du groupe terroriste puisqu’elle avait effectué son service militaire obligatoire dans l’armée israélienne.

Elle a ajouté que la famille Bibas devrait être « reconnaissante » que le Hamas n’a pas rendu leurs corps dans des « sacs mortuaires bleus à fermeture éclair ».

Shiri Bibas et ses deux fils Ariel, 4 ans, et Kfir, 9 mois, on été assassinés « à mains nues » par le Hamas en captivité dans la bande de Gaza, selon les conclusions de l’autopsie effectuée par les professionnels de l’institut médico-légal Abu Kabir, près de Tel Aviv.

Les corps d’Ariel et Kfir ont été remis par le Hamas à la Croix-Rouge, le 20 février dernier à Khan Younès, au terme d’une « cérémonie » de propagande qui a profondément traumatisé les Israéliens. Le groupe terroriste avait d’ailleurs initialement remis le corps d’une femme palestinienne non identifiée à la place de celui de Shiri Bibas, avant de remettre le corps de l’otage à Israël le lendemain.

Des cercueils contenant vraisemblablement les corps des otages israéliens tués, Shiri Bibas, ses deux enfants Ariel et Kfir, et Oded Lifshitz, exposés sur une scène avec un message de propagande avant d’être remis à la Croix-Rouge par des terroristes du Hamas et du Jihad islamique palestinien, à Khan Younès, dans la bande de Gaza, le 20 février 2025. (Crédit : Abdel Kareem Hana/AP)

Sur les réseaux sociaux, Camesha Hart aurait également déclaré qu’elle ne soignerait pas une internaute, à laquelle elle s’adressait, et dont nous n’avons pas pu vérifier si elle était juive ou israélienne, parce qu’elle ne « s’occupe pas des animaux ».

Dans la suite de son message, elle semble qualifier les membres de la communauté juive de « vermine », de « chiens » et de « rats ».

Selon le Jerusalem Post, son compte Instagram, supprimé depuis, Hart aurait partagé une photo de soldats de Tsahal en commentant : « Puissent-ils tous retrouver leurs ancêtres prochainement ».

Elle aurait également qualifié la campagne militaire israélienne à Gaza de « génocide » et aurait écrit qu’elle « choisirait de rejoindre le groupe H [Hamas] un jour ou l’autre ».

En février, deux infirmiers australiens avaient été suspendus d’un hôpital de Sydney après avoir juré, dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, qu’ils tueraient des patients israéliens qui se présenteraient à leur service.

L’un d’eux avait même déclaré qu’il avait déjà envoyé à « Jahannam » — le terme arabe pour désigner l’enfer islamique – de nombreux « chiens israéliens » venus à l’hôpital.

 

 

 

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