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75 ans d’Israël : La Cinémathèque ouvre ses archives au monde entier

Pendant environ un mois, chacun pourra visionner 75 films classiques de la collection qui sont habituellement bloqués en dehors d'Israël, avec des sous-titres en anglais et en hébreu

Jessica Steinberg est responsable notre rubrique « Culture & Art de vivre »

Chaïm Topol, à gauche, dans le film d'Efraïm Kishon "Sallah Shabati" (1964), désormais disponible pour une somme modique à partir des Archives de la Cinémathèque de Jérusalem, jusqu'en mai 2023. (Crédit : United King Films)
Chaïm Topol, à gauche, dans le film d'Efraïm Kishon "Sallah Shabati" (1964), désormais disponible pour une somme modique à partir des Archives de la Cinémathèque de Jérusalem, jusqu'en mai 2023. (Crédit : United King Films)

Les Archives du film israélien de la Cinémathèque de Jérusalem marquent le 75e anniversaire de l’Indépendance du pays en diffusant en continu 75 films israéliens classiques.

Les films sont disponibles sur le site web des Archives du film israélien jusqu’au 17 mai, pour le prix symbolique de 15 shekels par film. Environ 20 % des films sont également proposés gratuitement.

La majorité des films des archives de la Cinémathèque sont généralement bloqués géographiquement et ne sont disponibles en streaming qu’en Israël, en raison des contrats et accords de distribution internationaux des détenteurs de droits d’auteur.

À l’occasion de Yom HaAtsmaout, la Cinémathèque a obtenu toutes les autorisations nécessaires des détenteurs de droits d’auteur et de distribution.

Les films sont sous-titrés en hébreu et en anglais.

Ils couvrent toutes les années du cinéma israélien, dont les films primés tels que « Sallah Shabati » (1964) d’Ephraïm Kishon, « The Band » (1978) d’Avi Nesher et « Sh’Chur » (1994) de Shmuel Hasfari.

Il y a aussi quelques perles cachées, comme le film de Raphael Nussbaum « Burning Sands » (1960), et un certain nombre de films restaurés professionnellement par les archives avec l’aide du réalisateur ou du directeur de la photographie, comme le film de Rafi Bukaï « Avanti Popolo » (1986), « Atash » (Thirst) de Tawfik Abu Wael (2004), et « Big Eyes » d’Uri Zohar (1974).

Uri Zohar, à gauche, et Arik Einstein dans le film d’Uri Zohar « Big Eyes », désormais disponible pour une somme modique dans les Archives de la Cinémathèque de Jérusalem, jusqu’en mai 2023. (Crédit : United King Films)

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