Israël en guerre - Jour 563

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L’envoyé d’Israël à l’ONU défend les frappes en Syrie avant la réunion du Conseil de sécurité

Des débris jonchant le sol sur le site d'une frappe israélienne, dans une installation militaire, dans le gouvernorat de Hama, dans le sud de la Syrie, le 3 avril 2025. (Crédit : Abdulaziz Ketaz/AFP)
Des débris jonchant le sol sur le site d'une frappe israélienne, dans une installation militaire, dans le gouvernorat de Hama, dans le sud de la Syrie, le 3 avril 2025. (Crédit : Abdulaziz Ketaz/AFP)

À la veille de la réunion du Conseil de sécurité de l’ONU qui portera sur la Syrie, l’ambassadeur d’Israël aux Nations unies, Danny Danon, a souligné l’importance des actions militaires de l’armée israélienne dans ce pays.

« Le Conseil de sécurité doit comprendre que le fait de ne pas reconnaître le droit et l’obligation d’Israël de se défendre non seulement sape la légitimité d’une nation souveraine, mais met également en danger la stabilité de toute la région », a déclaré Danon, selon un communiqué de son porte-parole.

La réunion de demain, qui a été convoquée à la demande de l’Algérie et de la Somalie, portera sur les récentes frappes israéliennes en Syrie, précise le communiqué.

Israël a mené une campagne visant à détruire les capacités militaires syriennes afin qu’elles ne puissent plus menacer l’État juif, craignant que si la Turquie établit une présence militaire en Syrie, cela puisse entraver la liberté d’action de l’armée de l’air israélienne dans la région.

« Israël agira par tous les moyens nécessaires pour assurer la sécurité de ses citoyens. Ceux qui remettent en question l’importance des opérations d’Israël en Syrie ignorent les graves menaces qui pèsent le long de notre frontière. La présence d’Israël dans la région n’est pas une source d’escalade, mais une barrière défensive qui la protège du terrorisme, du chaos et de l’effondrement. Israël est l’acteur responsable qui œuvre à la stabilisation de la région », a poursuivi Danon.

Samedi, Reuters avait rapporté que la Turquie avait repéré au moins trois bases aériennes en Syrie où elle pourrait déployer des forces dans le cadre d’un pacte de défense conjoint prévu, avant qu’Israël ne lance des frappes aériennes sur ces sites.

Le 2 avril, Tsahal avait frappé les « capacités militaires restantes » de l’aéroport militaire de Hama et de la base aérienne T-4 dans l’ouest de la Syrie, ainsi que « l’infrastructure militaire » dans la région de Damas.

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