Israël en guerre - Jour 563

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Morgan Ortagus qualifie le Hezbollah de « cancer qui doit être désarmé au plus vite »

Nurit Yohanan est la correspondante du Times of Israel pour le monde arabe et palestinien.

Le président libanais Joseph Aoun (à droite) rencontrant l'envoyée spéciale adjointe des États-Unis pour la paix au Moyen-Orient, Morgan Ortagus (au centre), et l'ambassadrice des États-Unis au Liban, Lisa A. Johnson, au palais présidentiel de Baabda, à l'est de Beyrouth, au Liban, le 5 avril 2025. (Crédit : Bureau de presse de la présidence libanaise via AP)
Le président libanais Joseph Aoun (à droite) rencontrant l'envoyée spéciale adjointe des États-Unis pour la paix au Moyen-Orient, Morgan Ortagus (au centre), et l'ambassadrice des États-Unis au Liban, Lisa A. Johnson, au palais présidentiel de Baabda, à l'est de Beyrouth, au Liban, le 5 avril 2025. (Crédit : Bureau de presse de la présidence libanaise via AP)

Lors de deux interviews mardi, Morgan Ortagus, l’envoyée spéciale adjointe du président américain au Moyen-Orient, a critiqué le Hezbollah, qualifiant le groupe terroriste chiite libanais de « cancer » et affirmant qu’il devait être désarmé dès que possible.

Dans l’interview accordée à la chaîne saoudienne Al Arabiya, Ortagus a décrit le groupe terroriste chiite libanais du Hezbollah comme un « cancer ».

« Quand vous avez un cancer dans le corps, vous ne vous contentez pas d’en traiter une partie, vous l’enlevez complètement », a-t-elle déclaré.

« Les dirigeants libanais peuvent soit laisser le pays s’enfoncer davantage dans l’abîme, soit reprendre leur destin en main. S’ils prennent la décision difficile, ils bénéficieront du soutien des États-Unis », a-t-elle ajouté.

Ces interviews faisaient suite à la deuxième visite d’Ortagus au Liban, au cours de laquelle elle a rencontré le président et le Premier ministre libanais nouvellement élus, ainsi que des membres du Parlement et d’autres responsables du gouvernement.

Dans un autre entretien accordé à la chaîne libanaise LBCI, l’envoyée a déclaré qu’il était particulièrement important, selon elle, que le Hezbollah ne soit pas représenté au sein du nouveau gouvernement libanais.

Toutefois, concernant la possibilité d’une normalisation des relations entre Israël et le Liban, elle a déclaré que le sujet n’avait pas été abordé lors de ses rencontres avec les responsables libanais. « Il faut apprendre à marcher avant de courir. Nous en sommes encore à l’étape de l’apprentissage », a-t-elle déclaré.

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