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Officiel belge : Les terroristes se cachent « comme les Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale »

Il n'y avait "pas d'intention de blesser les juifs", a dit plus tard le ministre de l'Intérieur ; la comparaison avait seulement trait "au fait de se cacher"

Sue Surkes est la journaliste spécialisée dans l'environnement du Times of Israel.

Le vice-Premier ministre Jan Jambon arrive à la Commission européenne pour prendre part à une cérémonie à la mémoire des victimes de la terreur des attaques de Bruxelles le 23 mars 2016 à Bruxelles. (Crédit : AFP / Emmanuel Dunand)
Le vice-Premier ministre Jan Jambon arrive à la Commission européenne pour prendre part à une cérémonie à la mémoire des victimes de la terreur des attaques de Bruxelles le 23 mars 2016 à Bruxelles. (Crédit : AFP / Emmanuel Dunand)

Le Vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur de la Belgique a déclenché samedi une furieuse controverse après une interview pour la télévision flamande, lors de laquelle il a comparé les terroristes qui se cachent à Bruxelles avec l’aide de complices aux Juifs qui se cachaient avec l’aide des Belges pendant l’occupation nazie.

L’ancien député d’Anvers et membre du conseil municipal, Claude Marinower, qui est juif, a tweeté à propos des commentaires de Jan Jambon, sur le site internet juif Regards, qu’il n’avait pas cru à la déclaration, jusqu’à ce qu’il voit une vidéo de l’interview.

Lundi, il a déclaré au site Regards qu’une comparaison entre les terroristes et les nazis se cachant en Amérique du Sud aurait été plus appropriée.

« La comparaison faite par Jan Jambon est scandaleuse et inacceptable au regard de tous ceux qui se sont mis en danger pour sauver des Juifs pendant la guerre, » a-t-il dit, ajoutant qu’il n’accusait pas le ministre d’insulte intentionnelle.

Le porte-parole de Jambon, Olivier Van Raemdonck, a déclaré : « M. Jambon n’avait aucune intention de blesser la population juive de notre pays. Au contraire, il ne compare pas les juifs avec les terroristes. Il faisait tout simplement référence à des évènements de l’histoire belge ; Cacher des gens était quelque chose de positif. Ce qui se passe aujourd’hui à Bruxelles ne l’est pas. Les termes utilisées par M. Jambon visaient la situation de clandestinité ».

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