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Plus de 100 recrues refusent de servir comme tatzpitaniyot – média

Alors que le Premier ministre avait rendu visites aux 326 incorporées, 126 soldates ont refusé de monter dans les bus qui devaient les conduire à leur base d'entraînement

Des soldates israéliennes supervisant des caméras de surveillance dans un centre de commandement de la base militaire du kibboutz Reïm, dans le sud d'Israël, le 5 novembre 2023. (Crédit : Armée israélienne)
Des soldates israéliennes supervisant des caméras de surveillance dans un centre de commandement de la base militaire du kibboutz Reïm, dans le sud d'Israël, le 5 novembre 2023. (Crédit : Armée israélienne)

Plus d’une centaine de soldates de la dernière conscription refusent de servir comme soldates de surveillance de l’armée israélienne, appelées en hébreu tatzpitaniyot, a rapporté jeudi le site d’information Ynet.

Les soldates ont refusé de monter dans les bus qui devaient les conduire du centre d’incorporation à leur base d’entraînement.

Selon Ynet, 126 soldates sur les 326 qui ont été incorporées cette semaine ont refusé de partir.

Ce refus massif est survenu après que quinze tatzpitaniyot ont été tuées et six autres prises en otage lors de l’attaque du Hamas contre la base de Nahal Oz, dans le cadre de l’assaut barbare du groupe terroriste palestinien sur le sud d’Israël le 7 octobre qui a fait près de 1 200 morts, pour la plupart des civils, et lors duquel 253 personnes ont été prises en otage.

Ynet a indiqué qu’il s’agissait de la troisième sélection depuis le 7 octobre, au cours de laquelle un nombre important de soldats ont refusé de rejoindre les rangs de l’unité.

Les soldats de l’unité sont chargés de surveiller les caméras de surveillance le long de la frontière de Gaza et d’envoyer des forces en cas d’incidents potentiels. L’unité dispose de plusieurs centres de commandement dans différentes positions de l’armée le long de la frontière. La grande majorité des membres de l’unité sont des femmes.

À LIRE : Des soldates avaient signalé les activités suspectes du Hamas avant le 7 octobre

Cette « rébellion » est survenue le lendemain d’une visite effectuée par le Premier ministre Benjamin Netanyahu sur la base militaire de Tel HaShomer, dans le centre d’Israël.

Il avait déclaré aux nouvelles recrues du Corps de défense des frontières qu’elles s’étaient engagées pour protéger l’existence d’Israël et pour assurer la sécurité des futures générations du pays.

« Nous protégeons le pays, ce qui revient à protéger l’existence de chacun d’entre vous, de nos familles, de vos amis et aussi celle des futures générations », avait-il indiqué.

Les membres de l’unité ont été parmi ceux qui ont averti, dans les mois précédant les massacres du Hamas, de l’activité inhabituelle du groupe terroriste palestinien à la barrière frontalière. Cependant, dans de nombreux cas, leurs avertissements ont été largement ignorés.

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