Israël en guerre - Jour 471

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Les évacués de Kfar Aza se réjouissent en apercevant leurs voisins libérés de Gaza

Carrie Keller-Lynn est la correspondante politique et juridique du Times of Israël.

Les résidents du kibboutz Kfar Aza regardant la diffusion en direct de la libération de leurs voisins, au kibboutz de Shefayim, le 26 novembre 2023. (Crédit : Carrie Keller-Lynn/Times of Israel)
Les résidents du kibboutz Kfar Aza regardant la diffusion en direct de la libération de leurs voisins, au kibboutz de Shefayim, le 26 novembre 2023. (Crédit : Carrie Keller-Lynn/Times of Israel)

Les membres du kibboutz Kfar Aza ont laissé exploser leur joie aux premiers aperçus de leurs voisins et des membres de leur communauté revenant de 51 jours de captivité dans la bande de Gaza aux mains du groupe terroriste palestinien du Hamas.

« La voilà, regarde ! », a crié un homme ravi, en pointant du doigt un écran géant diffusant la Treizième chaîne en direct, montrant le CICR transportant les otages libérés.

Chaque fois qu’un nouveau visage est identifié, la foule applaudit.

https://twitter.com/cjkeller8/status/1728826091752882335

Les familles de Kfar Aza disent avoir appris hier soir que plusieurs de leurs voisins devaient être relâchés aujourd’hui, et ont vécu des montagnes russes émotionnelles couronnées par la joie lorsque le retour des 14 otages israéliens a été confirmé. Ils sont depuis peu aux mains des Israéliens.

« Nous n’avons pas dormi de la nuit à cause de l’excitation », a dit Meitar Yacobi, 30 ans, qui a grandi dans le kibboutz, dans une maison située entre celle des familles Brodutch et Goldstein, qui ont toutes deux des membres qui reviennent aujourd’hui des geôles du Hamas après 51 jours de captivité.

Meitar Yacobi, qui a grandi au kibboutz de Kfar Aza, au kibboutz de Shefayim, le 26 novembre 2023. (Crédit : Carrie Keller-Lynn/Times of Israel)

« Non », a-t-répondu, elle ne faisait pas confiance au Hamas pour les libérer comme annoncé.

« Nous étions inquiets, nous avons attendu jusqu’à la dernière minute pour voir si cela se produirait. » Ses espoirs ont été suscités puis périodiquement déçus, notamment à la suite d’un article selon lequel le CICR (Comité international de la Croix-Rouge) n’avait pas une confiance totale dans le transfert d’otages d’aujourd’hui.

Yacobi, qui séjourne actuellement chez ses parents évacués à Tel Aviv, dit qu’elle est venue au kibboutz de Shefayim ce soir en solidarité.

« Je suis venue pour voir et pour ressentir avec tout le monde ce que nous ressentons tous. Les mêmes sentiments. Ici ils nous comprennent », a-t-elle dit.

« Je suis vraiment, vraiment excitée et heureuse, mais c’est un bonheur doublé d’une douleur parce que j’ai des amis qui ne sont pas libérés dans cet accord », a-t-elle ajouté, en disant que son « cœur se brisait » pour eux.

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