Israël en guerre - Jour 494

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Les ex-otages Romi Gonen, Emily Damari et Doron Steinbrecher sont avec leurs familles

Entrée en vigueur du cessez-le-feu ; Les Houthis mettent en garde contre les "conséquences" de toute attaque au Yémen lors de la trêve à Gaza

  • L'ex-otage Emily Damari lors d'un appel vidéo avec sa famille après avoir retrouvée sa mère dans une installation de l’armée israélienne près de la frontière de Gaza, le 19 janvier 2025. (Crédit : Autorisation)
    L'ex-otage Emily Damari lors d'un appel vidéo avec sa famille après avoir retrouvée sa mère dans une installation de l’armée israélienne près de la frontière de Gaza, le 19 janvier 2025. (Crédit : Autorisation)
  • Des partisans et des parents d'otages détenus dans la bande de Gaza depuis les attaques du 7 octobre 2023 du Hamas réagissant en regardant la diffusion en direct à la télévision de leur libération sur la Place des Otages, à Tel Aviv, le 19 janvier 2025. (Crédit : Menahem Kahana/AFP)
    Des partisans et des parents d'otages détenus dans la bande de Gaza depuis les attaques du 7 octobre 2023 du Hamas réagissant en regardant la diffusion en direct à la télévision de leur libération sur la Place des Otages, à Tel Aviv, le 19 janvier 2025. (Crédit : Menahem Kahana/AFP)
  • Des terroristes du Hamas remettant à des membres du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) des otages enlevées lors du pogrom du 7 octobre 2023 dans le sud d'Israël, dans le cadre d'un cessez-le-feu et d'un accord entre otages et prisonniers, dans la ville de Gaza, le 19 janvier 2025. (Crédit : Reuters)
    Des terroristes du Hamas remettant à des membres du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) des otages enlevées lors du pogrom du 7 octobre 2023 dans le sud d'Israël, dans le cadre d'un cessez-le-feu et d'un accord entre otages et prisonniers, dans la ville de Gaza, le 19 janvier 2025. (Crédit : Reuters)
  • Des Palestiniens encerclant un véhicule du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), sur la place Saraya, dans l'ouest de la ville de Gaza, à l'occasion de la remise de trois otages israéliennes, le 19 janvier 2025. (Crédit : Omar Al-Qattaa/AFP)
    Des Palestiniens encerclant un véhicule du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), sur la place Saraya, dans l'ouest de la ville de Gaza, à l'occasion de la remise de trois otages israéliennes, le 19 janvier 2025. (Crédit : Omar Al-Qattaa/AFP)
  • De gauche à droite : Romi Gonen, Emily Damari et Doron Steinbrecher. (Crédit : Autorisation)
    De gauche à droite : Romi Gonen, Emily Damari et Doron Steinbrecher. (Crédit : Autorisation)
  • Le président israélien Isaac Herzog prie pour la libération des Israéliens retenus en otage dans la bande de Gaza au Mur occidental dans la vieille ville de Jérusalem, le 19 janvier 2025. (Noam Revkin Fenton/Flash90)
    Le président israélien Isaac Herzog prie pour la libération des Israéliens retenus en otage dans la bande de Gaza au Mur occidental dans la vieille ville de Jérusalem, le 19 janvier 2025. (Noam Revkin Fenton/Flash90)
  • Le Premier ministre Benjamin Netanyahu parlant de l'accord de prise d'otages et de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, dans une déclaration vidéo publiée le 18 janvier 2025. (Crédit : Capture d'écran/YouTube ; utilisée conformément à l'article 27a de la loi sur les droits d'auteur)
    Le Premier ministre Benjamin Netanyahu parlant de l'accord de prise d'otages et de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, dans une déclaration vidéo publiée le 18 janvier 2025. (Crédit : Capture d'écran/YouTube ; utilisée conformément à l'article 27a de la loi sur les droits d'auteur)
  • Vue d'un camp de tentes pour les Palestiniens déplacés, à Khan Younès, dans la bande de Gaza, le 18 janvier 2025. (Crédit : Jehad Alshrafi/AP)
    Vue d'un camp de tentes pour les Palestiniens déplacés, à Khan Younès, dans la bande de Gaza, le 18 janvier 2025. (Crédit : Jehad Alshrafi/AP)
  • Des ambulances attendant du côté égyptien du poste-frontière de Rafah avec la bande de Gaza, le 18 janvier 2025, pour entrer dans la bande de Gaza après l'entrée en vigueur de l'accord de cessez-le-feu et de libération des otages. (Crédit : AFP)
    Des ambulances attendant du côté égyptien du poste-frontière de Rafah avec la bande de Gaza, le 18 janvier 2025, pour entrer dans la bande de Gaza après l'entrée en vigueur de l'accord de cessez-le-feu et de libération des otages. (Crédit : AFP)
  • Des portraits d'otages détenus dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023  affichés sur le terrain de l'hôtel de ville de Tel Aviv, alors qu'un message au président américain sortant Joe Biden disant « Merci, Joe » est illuminé sur ses fenêtres, le 18 janvier 2025. (Crédit : Jack Guez/AFP)
    Des portraits d'otages détenus dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023 affichés sur le terrain de l'hôtel de ville de Tel Aviv, alors qu'un message au président américain sortant Joe Biden disant « Merci, Joe » est illuminé sur ses fenêtres, le 18 janvier 2025. (Crédit : Jack Guez/AFP)
  • Des personnes brandissant des pancartes et des drapeaux lors d'une manifestation anti-gouvernement appelant à une action pour obtenir la libération des otages israéliens retenus en captivité depuis le 7 octobre 2023 devant le ministère de la Défense, à Tel Aviv, le 18 janvier 2025. (Crédit : Jack Guez/AFP)
    Des personnes brandissant des pancartes et des drapeaux lors d'une manifestation anti-gouvernement appelant à une action pour obtenir la libération des otages israéliens retenus en captivité depuis le 7 octobre 2023 devant le ministère de la Défense, à Tel Aviv, le 18 janvier 2025. (Crédit : Jack Guez/AFP)
  • Des manifestants réclamant un accord de cessez-le-feu, devant le ministère de la Défense, à Tel Aviv, le 18 janvier 2025. (Crédit : Erik Marmor/Flash90)
    Des manifestants réclamant un accord de cessez-le-feu, devant le ministère de la Défense, à Tel Aviv, le 18 janvier 2025. (Crédit : Erik Marmor/Flash90)

L’état des ex-otages leur permet de retrouver leurs familles – directrice de l’hôpital

Emily Damari retrouvant les membres de sa famille, à l'hôpital Tel HaShomer de Ramat Gan, le 19 janvier 2025. (Crédit : Maayan Toaf/GPO)
Emily Damari retrouvant les membres de sa famille, à l'hôpital Tel HaShomer de Ramat Gan, le 19 janvier 2025. (Crédit : Maayan Toaf/GPO)

Dr. Yaël Frankel-Nir, directrice de l’hôpital Tel HaShomer, déclare que l’état physique des otages libérées est suffisamment bon pour leur permettre de se concentrer sur les retrouvailles avec les membres de leur famille.

« Leur état nous permet de nous concentrer sur l’essentiel, à savoir la réunion avec leurs familles, et de repousser de quelques heures l’examen des questions médicales », déclare-t-elle.

« Nous les encadrons de près, ainsi que leurs familles », ajoute-t-elle.

Le Hamas diffuse une vidéo de propagande sur la libération des otages

Le groupe terroriste palestinien du Hamas diffuse une vidéo de propagande montrant la libération des otages Romi Gonen, Doron Steinbrecher et Emily Damari dans la bande de Gaza plus tôt aujourd’hui.

La vidéo montre des terroristes du Hamas donnant aux otages des « sacs-cadeaux » et des « certificats » avant leur libération. Les sacs contiendraient des photos d’elles en captivité.

La vidéo montre le Hamas emmenant les otages à un point de rencontre sur une place centrale de la ville de Gaza, escortées par des dizaines de Palestiniens armés, chantant et scandant des chants, où des centaines de gens sont rassemblés.

Les trois femmes ont ensuite été remises à la Croix-Rouge.

Dans la vidéo, on voit un représentant de la Croix-Rouge signer un document fourni par les terroristes du Hamas, avant que les otages ne leur soient remises.

À VOIR : Les otages libérées retrouvent leur famille dans la joie et les larmes

Romi Gonen retrouvant sa famille, à l'hôpital Tel HaShomer, de Ramat Gan, le 19 janvier 2025. (Crédit : Maayan Toaf/GPO)
Romi Gonen retrouvant sa famille, à l'hôpital Tel HaShomer, de Ramat Gan, le 19 janvier 2025. (Crédit : Maayan Toaf/GPO)

Le bureau du Premier ministre publie des photos et une vidéo des trois ex-otages libérées retrouvant leurs familles à l’hôpital Tel HaShomer de Ramat Gan.

Emily Damari, enveloppée dans un drapeau d’Israël, étreint ses proches avec émotion.

Romi Gonen est enlacée par les membres de sa famille alors qu’elle entre dans une chambre d’hôpital décorée de guirlandes lumineuses.

Doron Steinbrecher pleure en embrassant les membres de sa famille dans les couloirs de l’hôpital.

Les trois femmes devraient rester à l’hôpital pendant plusieurs jours pour y être évaluées et soignées, après 471 jours de captivité dans les geôles du groupe terroriste palestinien du Hamas. Elles ont d’abord été réunies avec leurs mères près de la frontière de Gaza, puis elles ont été transportées à l’hôpital par hélicoptère pour rencontrer le reste de leurs familles.

Le Hamas a remis aux otages libérées des « sacs-cadeaux » contenant des souvenirs de leur période de captivité

Les otages Romi Gonen, Doron Steinbrecher et Emily Damari transférées de la Croix-Rouge aux troupes de l'armée israélienne, à Gaza le 19 janvier 2025. (Crédit : Capture d'écran/Armée israélienne)
Les otages Romi Gonen, Doron Steinbrecher et Emily Damari transférées de la Croix-Rouge aux troupes de l'armée israélienne, à Gaza le 19 janvier 2025. (Crédit : Capture d'écran/Armée israélienne)

Les trois otages libérées aujourd’hui par le Hamas dans la bande de Gaza ont reçu des « sacs-cadeaux » de la part des terroristes avant d’être remises à la Croix-Rouge.

Selon les médias israéliens, ces sacs contenaient des photos d’elles en captivité dans les geôles du Hamas et un « certificat ».

Une vidéo publiée par l’armée israélienne montre les ex-otages Romi Gonen, Doron Steinbrecher et Emily Damari tenant les sacs-cadeaux au moment où elles ont été confiées aux troupes.

La foule acclame les otages libérées à leur arrivée à l’hôpital

Des soutiens et des amis d'Emily Damar l'acclamant à son arrivée devant le centre hospitalier Tel HaShomer, à Ramat Gan, près de Tel Aviv, le 19 janvier 2025. (Crédit : Jack Guez /AFP)
Des soutiens et des amis d'Emily Damar l'acclamant à son arrivée devant le centre hospitalier Tel HaShomer, à Ramat Gan, près de Tel Aviv, le 19 janvier 2025. (Crédit : Jack Guez /AFP)

Des centaines de personnes s’alignent sur la chaussée de l’hôpital Tel HaShomer alors que les trois otages libérées sont transportées de l’hélicoptère de l’armée israélienne à l’intérieur de l’établissement.

La foule applaudit et chante au passage des camionnettes transportant Romi Gonen, Doron Steinbrecher et Emily Damari.

Avishag Gadot, 20 ans, était là avec un groupe de femmes du service national.

« J’attends de les voir rentrer chez eux », dit-elle.

« Il y a beaucoup d’excitation, mais aussi de la tristesse pour ceux qui ne sont pas encore rentrés et pour les soldats qui sont morts. »

Les patients de l’étage supérieur ont ouvert la fenêtre pour regarder en contrebas.

Lorsque les ambulances sont arrivées sur la place à l’entrée de l’hôpital, il y a eu une forte acclamation. Les jeunes femmes se sont mises à chanter : « Am Yisrael Chaï » – « Le peuple d’Israël vit ».

Les anciennes otages ont été emmenées à l’hôpital pour retrouver les membres de leur famille et être examinées par le personnel soignant. Ils ont leur propre chambre et resteront à l’hôpital pour des examens tant que nécessaire.

Les trois otages israéliennes libérées sont arrivées à l’hôpital

Les trois otages israéliennes libérées dimanche par le Hamas dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu sont arrivées à l’hôpital Sheba à Ramat Gan (centre) en hélicoptère, a constaté un journaliste de l’AFP.

L’armée israélienne, qui a annoncé leur retour dans le pays, a confirmé dans un communiqué que les « trois otages libérées avaient atterri à l’hôpital avec leurs mères, où elles retrouveront le reste de leur famille et recevront des soins médicaux ».

« Il y en aura d’autres » : Le principal conseiller de Trump exprime son « soulagement » après la libération des trois premières otages

Des familles d'otages israéliens et d'autres personnes réunis sur le National Mall, près du Washington Monument, pour encourager le président élu Donald Trump à ramener les derniers otages détenus à Gaza, à Washington, le 19 janvier 2025. (Crédit : Julio Cortez/AP)
Des familles d'otages israéliens et d'autres personnes réunis sur le National Mall, près du Washington Monument, pour encourager le président élu Donald Trump à ramener les derniers otages détenus à Gaza, à Washington, le 19 janvier 2025. (Crédit : Julio Cortez/AP)

Réagissant à la libération des trois premières otages israéliennes, le nouveau conseiller américain à la sécurité nationale, Mike Waltz, a déclaré sur le réseau social X qu’il était « soulagé que ces trois femmes courageuses ne souffrent plus aux mains des terroristes du Hamas dans les tunnels de Gaza et qu’elles soient à nouveau avec leurs familles ».

« Il y en aura d’autres », a ajouté Waltz.

Le gouvernement publie les premières photos d’otages libérées retrouvant leurs mères

Emily Damari (à droite) embrassant sa mère, Mandy, après son retour de captivité du Hamas, le 19 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)
Emily Damari (à droite) embrassant sa mère, Mandy, après son retour de captivité du Hamas, le 19 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)

Le gouvernement israélien publie les premières images de Romi Gonen, Doron Steinbrecher et Emily Damari retrouvant leurs mères après leur retour des geôles du groupe terroriste palestinien du Hamas.

On voit Doron embrasser sa mère, Simona Steinbrecher, Romi étreindre sa mère, Merav Leshem Gonen, et Emily et sa mère, Mandy Damari, participer à un appel vidéo avec d’autres membres de la famille.

Les trois mères ont attendu leurs filles dans une installation spéciale de l’armée israélienne située près de la frontière avec Gaza. Emily, Romi et Doron sont maintenant en route par hélicoptère vers un hôpital pour y être évaluées et soignées, où elles retrouveront le reste des membres de leur famille.

Doron Steinbrecher (à droite) embrassant sa mère Simona après son retour de captivité du Hamas, le 19 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)
Emily Damari (à droite) et sa mère, Mandy, passant un appel vidéo avec des membres de leur famille après son retour de captivité du Hamas, le 19 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)
Roni Gonen (à droite) et sa mère, Merav Leshem Gonen, s’embrassant après le retour de Romi des geôles du Hamas, le 19 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)

Remerciements de la famille de Doron Steinbrecher après « 471 jours insupportables »

Doron Steinbrecher. (Crédit : Autorisation)
Doron Steinbrecher. (Crédit : Autorisation)

La famille de Doron Steinbrecher publie un communiqué de remerciement après sa libération.

« Après 471 jours insupportables, notre Dodo bien-aimée nous est enfin rendue. Nous tenons à exprimer notre sincère gratitude à tous ceux qui nous ont soutenus et accompagnés tout au long de ce voyage », indique le communiqué.

« Nous remercions tout particulièrement le peuple d’Israël pour son étreinte chaleureuse, son soutien indéfectible et la force qu’il nous a donnée dans les moments les plus sombres. Nous exprimons également notre gratitude au président [élu Donald] Trump pour son implication et son soutien significatifs, qui ont beaucoup compté pour nous », ajoutent-ils.

« Notre héroïque Dodo, qui a survécu à 471 jours de captivité du Hamas, commence aujourd’hui son chemin vers la réhabilitation. Nous continuerons à soutenir toutes les familles et à faire tout ce qui est en notre pouvoir jusqu’à ce que tous leurs proches rentrent chez eux. »

Ben Gvir espère que la force militaire permettra le retour du reste des otages

Le ministre d’extrême droite de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, a publié une déclaration dans laquelle il souhaite la bienvenue aux trois otages israéliens libérées, Romi Gonen, Emily Damari et Doron Steinbrecher, alors qu’il avait voté contre l’accord qui avait permis leur libération.

« Nous sommes heureux et enthousiasmés par votre retour et nous attendons le retour des autres otages – par l’utilisation de la force [militaire], en coupant le carburant [vers Gaza] et en arrêtant le flux d’aide humanitaire [vers la bande de Gaza] – et non par la reddition », a écrit sur le réseau social X Ben Gvir.

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