Israël en guerre - Jour 642

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Le chef de la police de Hadera inculpé pour avoir agressé un manifestant anti-gouvernement

Amit Pollak aurait tenté, avec le concours de son épouse, de dissimuler des preuves dans cette affaire après les faits

Le commandant du poste de police de Hadera, le surintendant principal Amit Pollak, après une audience à la Cour suprême de Jérusalem, le 1er avril 2025. (Crédit : Chaim Goldberg/Flash90)
Le commandant du poste de police de Hadera, le surintendant principal Amit Pollak, après une audience à la Cour suprême de Jérusalem, le 1er avril 2025. (Crédit : Chaim Goldberg/Flash90)

Les procureurs ont déposé dimanche un acte d’accusation contre le chef de la police de Hadera, Amit Pollak, et son épouse. Il avait été filmé il y a un an en train d’attaquer un civil avant une manifestation anti-gouvernementale à Césarée.

Il aurait tenté, avec le concours de son épouse, de dissimuler des preuves dans cette affaire après les faits.

Selon l’acte d’accusation déposé par le Département des enquêtes internes de la police (DIPI) auprès du tribunal de première instance de Haïfa, Pollak a agressé un manifestant anti-gouvernemental avant une manifestation prévue devant la résidence privée du Premier ministre Benjamin Netanyahu en avril 2024.

Avant la manifestation, un groupe de vétérans de la guerre de Kippour a transporté un faux char d’assaut en carton à Césarée à l’arrière d’un camion. Ils se sont arrêtés pour prendre un café au domicile du plaignant, Shemi Attar, un membre du groupe qui prévoyait également de manifester ce jour-là.

Pollak, accompagné de plusieurs autres agents, est arrivé au domicile du plaignant, a ordonné que le camion soit retiré de l’allée et a commencé à agresser Attar en le poussant et en l’étranglant. Pollak a ensuite ordonné aux agents d’arrêter Attar. Pollak a ensuite agressé une autre personne présente sur les lieux, selon l’acte d’accusation.

Le chef de la police de Hadera est accusé d’agression et d’obstruction à la justice, après avoir apparemment tenté de dissimuler son téléphone aux enquêteurs.

En mars, après une décision de la Cour suprême ordonnant à Pollak de remettre son téléphone aux enquêteurs du DIPI, sa femme l’a pris, s’est rendue à la plage et l’a jeté à la mer.

Son épouse, Shlomit Pollak, est également accusée d’entrave à la justice.

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