Israël en guerre - Jour 536

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À Jérusalem, les familles d’otages appellent la nation à jeûner pendant 500 minutes pour marquer les 500 jours de captivité

Jessica Steinberg est responsable notre rubrique « Culture & Art de vivre »

Levi Ben Baruch, oncle de l'otage Edan Alexander, au centre, lors d'un événement marquant les 500 jours depuis le massacre du 7 octobre 2023 perpétré par le Hamas, rue de Azza à Jérusalem, le 17 février 2025. (Jessica Steinberg / The Times of Israel)
Levi Ben Baruch, oncle de l'otage Edan Alexander, au centre, lors d'un événement marquant les 500 jours depuis le massacre du 7 octobre 2023 perpétré par le Hamas, rue de Azza à Jérusalem, le 17 février 2025. (Jessica Steinberg / The Times of Israel)

Des membres de familles d’otages et des dizaines de sympathisants commencent à marquer le 500e jour de captivité de leurs proches devant la tente du Forum des familles d’otages et de disparus, rue Azza, à Jérusalem, et prévoient de marcher ensuite jusqu’à la Knesset,

En reprenant les mots récités lors des jours de jeûne juifs — « S’il vous plaît, sauvez-nous ! » — Levi Ben Baruch, oncle de l’otage Edan Alexander, enveloppé dans son châle de prière et portant des tefillins, appelle au retour de tous les otages.

Maccabit Meyer, tante des otages Ziv Berman et Gali Berman, lors d’un événement marquant les 500 jours depuis le massacre du 7 octobre 2023 perpétré par le Hamas, rue de Azza à Jérusalem, le 17 février 2025. (Jessica Steinberg / The Times of Israel)

« Nous allons jeûner 500 minutes pour les captifs », déclare-t-il.

« Ils ont déjà jeûné pendant 500 jours », dit-il, demandant à la nation de se joindre au jeûne des familles, de prier d’une seule âme, d’un seul cœur.

« Nous voulons savoir quand ils rentreront tous chez eux », déclare Ben Baruch, dont le neveu, Alexander, est soldat et ne figure pas sur la liste des 33 otages qui doivent rentrer chez eux dans le cadre de la première phase de l’accord en cours.

Maccabit Meyer, tante des otages Ziv Berman et Gali Berman, affirme que le 500e jour n’est pas différent des autres jours.

« Je veux que Ziv et Gali soient serrés dans les bras de leur mère Talia », dit-elle, appelant la nation à se joindre à leur cri.

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