Israël en guerre - Jour 371

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L’envoyée américaine s’abstient de prendre position sur un recours de l’ONU exhortant au cessez-le-feu à Gaza

Jacob Magid est le correspondant du Times of Israël aux États-Unis, basé à New York.

L’ambassadrice des États-Unis aux Nations unies, Linda Thomas-Greenfield, s’entretient avec des journalistes lors d’une conférence de presse au siège des Nations unies, le 1er mars 2021. (Crédit : Mary Altaffer/AP)
L’ambassadrice des États-Unis aux Nations unies, Linda Thomas-Greenfield, s’entretient avec des journalistes lors d’une conférence de presse au siège des Nations unies, le 1er mars 2021. (Crédit : Mary Altaffer/AP)

Lors d’une interview, l’ambassadrice américaine auprès des Nations unies, Linda Thomas-Greenfield, a refusé à deux reprises de prendre position concernant la décision du secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, d’invoquer une clause rare de la charte de l’ONU afin d’exhorter le Conseil de sécurité d’intervenir pour parvenir à un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas.

« Nous sommes au courant de la lettre du secrétaire général. Et comme cela a été le cas depuis le début de ce conflit, nous sommes restés étroitement engagés avec les Nations unies et d’autres partenaires de la région », a déclaré Thomas-Greenfield.

« Nous avons soutenu la pause humanitaire, qui a pris fin il y a quelques jours, mais nous continuons également à travailler avec les parties dans la région… pour trouver une voie à suivre, pour continuer à acheminer l’aide humanitaire, à ramener les otages et à avancer vers un processus qui mènera à une solution à deux États », a ajouté l’envoyée américaine.

Guterres a appelé à plusieurs reprises à un cessez-le-feu dans la guerre en cours. Mercredi, il a écrit – pour la première fois depuis qu’il a pris la tête de l’organisation mondiale de 193 membres en 2017 – aux 15 membres du Conseil de sécurité en vertu de l’article 99 de la Charte des Nations unies.

C’est également la première fois qu’un secrétaire général y a recours depuis 1989. L’article permet au secrétaire général de porter à l’attention du conseil toute question qui, selon lui, menace la paix et la sécurité internationales.

Le journaliste interrogeant Thomas-Greenfield a tenté une seconde fois de l’interroger concernant la position américaine sur la décision de Guterres.

« Le secrétaire général a le pouvoir d’émettre ces lettres, et nous allons continuer à travailler avec l’ONU pour trouver un moyen de répondre aux préoccupations que lui et d’autres ont soulevées », a-t-elle dit.

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