Les familles des otages libérées remercient Trump et Witkoff pour avoir ramené leurs proches à la maison
Jessica Steinberg est responsable notre rubrique « Culture & Art de vivre »
Les parents et les frères et sœurs des quatre otages libérées, Liri Albag, Karina Ariev, Naama Levy et Daniella Gilboa, se réunissent à l’hôpital Beilinson pour partager quelques réflexions sur la libération de leurs proches – toutes des soldates de surveillance de Tsahal enlevées à l’avant-poste de Nahal Oz – et sur la lutte en cours pour la libération des 90 otages toujours en captivité dans la bande de Gaza.
« Il n’y aura pas de guérison du traumatisme tant que tout le monde ne sera pas rentré à la maison », déclare Yoni Levy, père de Naama Levy.
Tous mentionnent Agam Berger, la cinquième soldate de surveillance, qui n’a pas été libérée samedi avec les autres, ainsi qu’Arbel Yehud et Shiri Bibas, les deux dernières femmes captives censées être libérées lors de la première étapesde l’accord de libération des otages.
Ils remercient tous le président Donald Trump pour son rôle dans la finalisation de l’accord.
« Si quelqu’un peut apporter la paix dans le monde, c’est bien vous », déclare Orly Gilboa, mère de Daniella Gilboa, en s’adressant au président Trump. « Nous sommes convaincus que vous ferez tout ce qu’il faut pour que nous y arrivions ».
Elle affirme que même si Daniella est revenue de Gaza « amaigrie, pâle et ayant souffert », elle est toujours « la même fille merveilleuse et talentueuse qu’elle était lorsqu’ils nous l’ont volée ».

Les autres, Yoni Levy, père de Naama, Eli Albag, père de Liri, et Sasha Ariev, sœur de Karina, louent Trump et son envoyé au Moyen-Orient Steve Witkoff pour les efforts qu’ils ont déployés pour finaliser l’accord de libération des otages.
« Cher M. Witkoff », dit Sasha Ariev, « nous avons ressenti votre attention tout au long du chemin, nous avions l’impression d’être vos enfants ».