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Anthony Blinken : Biden défend la « solution à deux Etats »

Le nouveau ministre des Affaires étrangères a assuré que "l'engagement" du futur gouvernement américain "en faveur de la sécurité d'Israël" était "sacro-saint"

Le vice-président Joe Biden (à gauche) et l'adjoint au secrétaire d'État Tony Blinken, le 30 juin  2015, au département d'État à Washington. (Crédit : AP Photo/Manuel Balce Ceneta)  
Le vice-président Joe Biden (à gauche) et l'adjoint au secrétaire d'État Tony Blinken, le 30 juin 2015, au département d'État à Washington. (Crédit : AP Photo/Manuel Balce Ceneta)  

Le président élu des Etats-Unis Joe Biden estime que la seule issue viable au conflit israélo-palestinien est « la solution à deux Etats », mais ne reviendra pas sur la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël, a déclaré mardi son futur ministre des Affaires étrangères Antony Blinken.

« Le président pense comme moi que la meilleure manière, peut-être la seule manière d’assurer à Israël son avenir en tant qu’Etat juif démocratique, et de donner aux Palestiniens l’Etat auquel ils ont droit, c’est la solution dite à deux Etats », a-t-il affirmé.

Devant les sénateurs américains, il a toutefois reconnu qu’une telle solution n’était pas « réaliste » à « court terme », appelant dans l’immédiat Israéliens et Palestiniens à « éviter des mesures unilatérales qui rendent cela encore plus complexe ».

Le président américain sortant Donald Trump a présenté il y a un an son plan de paix pour le Proche-Orient, qui n’octroie aux Palestiniens qu’un Etat démilitarisé et réduit à sa portion congrue, avec une capitale en périphérie de Jérusalem et privé des implantations israéliennes qui seraient annexées par l’Etat hébreu.

L’Autorité palestinienne a rejeté en bloc cette proposition, refusant à l’administration Trump le statut de médiateur. Elle avait déjà rompu tout contact avec les Etats-Unis lorsque Donald Trump avait, au début de son mandat, pris la décision controversée de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël et d’y transférer l’ambassade américaine, jusque-là installée à Tel Aviv, en rupture avec le consensus international.

Le secrétaire au Trésor américain Steve Mnuchin et la fille et conseillère du président américain Donald Trump, Ivanka Trump, dévoilent la plaque d’inauguration lors de l’ouverture de l’ambassade des États-Unis à Jérusalem le 14 mai 2018. (AFP Photo/Menahem Kahana)

Antony Blinken a déclaré que le futur gouvernement démocrate ne reviendrait pas sur ces deux décisions concernant Jérusalem et l’ambassade.

Il a aussi assuré que « l’engagement » du futur gouvernement américain « en faveur de la sécurité d’Israël » était « sacro-saint ».

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