Israël en guerre - Jour 368

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Deux roquettes tirées sur Ashkelon après que Tsahal a frappé des sites du Hamas à Gaza City

Aucun blessé n'est signalé après l'interception d'une roquette et la chute de l'autre dans la mer ; Le Hezbollah a tiré quelque 55 roquettes sur la région de Safed, déclenchant des incendies

  • Des roquettes lancées depuis la bande de Gaza sur la ville d'Ashkelon, au sud du pays, le 14 mai 2024. (Crédit : Emanuel Fabian/Times of Israel)
    Des roquettes lancées depuis la bande de Gaza sur la ville d'Ashkelon, au sud du pays, le 14 mai 2024. (Crédit : Emanuel Fabian/Times of Israel)
  • De la fumée s'élevant d'un incendie provoqué par des roquettes tirées depuis le Liban, à l'extérieur du kibboutz Amiad, dans le nord d'Israël, le 14 septembre 2024. (Crédit : Michael Giladi/Flash90)
    De la fumée s'élevant d'un incendie provoqué par des roquettes tirées depuis le Liban, à l'extérieur du kibboutz Amiad, dans le nord d'Israël, le 14 septembre 2024. (Crédit : Michael Giladi/Flash90)
  • Des Palestiniens déplacés inspectant leurs tentes, qui ont été touchées par une frappe aérienne israélienne, à al-Mawasi, Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, le 14 septembre 2024. (Crédit : Abed Rahim Khatib/Flash90)
    Des Palestiniens déplacés inspectant leurs tentes, qui ont été touchées par une frappe aérienne israélienne, à al-Mawasi, Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, le 14 septembre 2024. (Crédit : Abed Rahim Khatib/Flash90)
  • Des manifestants entourant le député Yuli Edelstein alors qu'il se rend à la synagogue de Herzliya, le lendemain de l'arrestation de trois femmes qui avaient placé des tracts en otage dans le lieu de culte, le 14 septembre 2024. (Crédit : Yaïr Palti/ Groupe de protestation pour la démocratie)
    Des manifestants entourant le député Yuli Edelstein alors qu'il se rend à la synagogue de Herzliya, le lendemain de l'arrestation de trois femmes qui avaient placé des tracts en otage dans le lieu de culte, le 14 septembre 2024. (Crédit : Yaïr Palti/ Groupe de protestation pour la démocratie)
  • Des manifestants rassemblés contre l'arrestation de trois femmes qui ont placé des tracts appelant à la libération des otages dans une synagogue, à Herzliya, devant le poste de police de Glilot, le 13 septembre 2024 (Crédit : Tal Gal/Flash90)
    Des manifestants rassemblés contre l'arrestation de trois femmes qui ont placé des tracts appelant à la libération des otages dans une synagogue, à Herzliya, devant le poste de police de Glilot, le 13 septembre 2024 (Crédit : Tal Gal/Flash90)
  • L'une des trois femmes arrêtées après avoir placé des tracts appelant à une prise d'otages dans une synagogue à Herzliya, est serrée dans les bras après avoir été relâchée, devant le poste de police de Glilot, le 13 septembre 2024 (Crédit : Tal Gal/Flash90)
    L'une des trois femmes arrêtées après avoir placé des tracts appelant à une prise d'otages dans une synagogue à Herzliya, est serrée dans les bras après avoir été relâchée, devant le poste de police de Glilot, le 13 septembre 2024 (Crédit : Tal Gal/Flash90)
  • Mehmet Suat Eygi, père de la militante américano-turque Aysenur Ezgi Eygi, abattue en Cisjordanie, se recueillant dans la maison de son grand-père avant la cérémonie funéraire, dans le district de Didim, à Aydin, le 14 septembre 2024. (Crédit : Ozan Kose/AFP)
    Mehmet Suat Eygi, père de la militante américano-turque Aysenur Ezgi Eygi, abattue en Cisjordanie, se recueillant dans la maison de son grand-père avant la cérémonie funéraire, dans le district de Didim, à Aydin, le 14 septembre 2024. (Crédit : Ozan Kose/AFP)

L’armée confirme des frappes contre des sites du Hezbollah et d’autres cibles au Liban

L’armée a confirmé avoir procédé à des bombardements dans les profondeurs du Liban dans la soirée de samedi. Elle a visé des dépôts d’armements du Hezbollah dans la vallée de Beqaa et dans la région de Baalbek, a-t-elle précisé.

D’autres attaques ont ciblé des dépôts d’armes et des bâtiments utilisés par le Hezbollah dans le sud du Liban, a poursuivi Tsahal.

Les militaires ont diffusé des images de ces frappes aériennes.

Heurts lors de la manifestation pro-accord à Jérusalem, au moins une arrestation

Des manifestants réclamant un accord pour la libération des otages, à Jérusalem, le 14 septembre 2024. (Crédit : Iddo Schejter/Times of Israel)
Des manifestants réclamant un accord pour la libération des otages, à Jérusalem, le 14 septembre 2024. (Crédit : Iddo Schejter/Times of Israel)

La police arrête au moins un manifestant à Jérusalem pour avoir vraisemblablement violé les conditions de sa mise en liberté.

Les officiers sortent le manifestant de la foule qui marche vers la Place de Paris à Jérusalem.

De petites échauffourées éclatent entre la police et les manifestants, et la police repousse la foule vers le trottoir.

En réponse, les manifestants scandent « Où étiez-vous à Sde Teiman ? », en référence à l’intrusion massive et sans entrave dans une prison pour protester contre l’arrestation de réservistes soupçonnés de sévices sur un prisonnier palestinien accusé de terrorisme.

Frappe de Tsahal signalée à 140 km à l’intérieur du Liban, dans la partie nord de la frontière avec la Syrie

Les médias libanais font état de frappes aériennes israéliennes à la frontière entre le Liban et la Syrie, dans le nord-est du pays.

Les frappes sont rapportées près du village syrien de Hawsh al-Sayyid Ali, adjacent au district libanais de Hermel, à quelque 140 kilomètres d’Israël.

Des manifestants pro-accord pour les otages à Jérusalem

Des manifestants appelant à la libération des otages, sur la Place de Sion, à Jérusalem, le 14 septembre 2024. (Crédit : Iddo Schejter/Times of Israel)
Des manifestants appelant à la libération des otages, sur la Place de Sion, à Jérusalem, le 14 septembre 2024. (Crédit : Iddo Schejter/Times of Israel)

Des manifestants appelant à un accord pour la libération des otages se rassemblent sur la Place de Sion à Jérusalem.

Les manifestants portent des drapeaux israéliens et des drapeaux jaunes représentant le mouvement de libération des otages et chantent en faveur d’un accord de « trêve contre libération d’otages ».

Le rassemblement s’avance vers la place de Paris, qui est adjacente à la résidence du Premier ministre Benjamin Netanyahu.

Des manifestations similaires ont lieu dans tout le pays.

Une semaine après le « plus grand rassemblement », des milliers de personnes se réunissent à Tel Aviv pour réclamer un accord

Des milliers de manifestants anti-gouvernement et pro-accord pour les otages, rue Begin, à Tel Aviv, le 14 septembre 2024. (Credit : Dana Reany/Mouvement de protestation pour la démocratie)
Des milliers de manifestants anti-gouvernement et pro-accord pour les otages, rue Begin, à Tel Aviv, le 14 septembre 2024. (Credit : Dana Reany/Mouvement de protestation pour la démocratie)

Des milliers de manifestants anti-gouvernement, réclamant un accord de « trêve contre libération d’otages », ont commencé à se rassembler rue Begin à Tel Aviv, devant les quartiers généraux de l’armée de la Kirya.

C’est la deuxième semaine consécutive que le rassemblement rue Begin fusionne avec la manifestation anti-gouvernement hebdomadaire sur la rue Kaplan toute proche.

Selon les organisateurs, environ un demi-million de personnes avient participé au rassemblement la semaine dernière – le premier rassemblement hebdomadaire organisé après que le retour des six otages récemment assassinés a suscité l’indignation de l’opinion publique – ce qui, si cela est vrai, constitue la plus grande manifestation de l’histoire d’Israël.

Einav Zangauker, mère de l’otage Matan Zangauker, Michal Lubnov, veuve de l’otage tué Alex Lubnov, et Anat Angrest, mère du soldat captif Matan Angrest, prendront la parole.

Une séquence audio de Matan demandant au Premier ministre Benjamin Netanyahu de lui sauver la vie sera également diffusée lors du rassemblement.

Les manifestants accusent Netanyahu d’insister pour qu’Israël conserve le contrôle du du couloir stratégique dit de « Philadelphi », qui sépare l’Égypte de la bande de Gaza, et ce pour une durée indéterminée, dans l’intention de faire échouer un accord qui pourrait menacer l’intégrité de son gouvernement de droite.

Un manifestant anti-gouvernement, pro-accord pour les otages, hissant une maquette de la Knesset et une pancarte indiquant « Assez de sacrifices humains sur l’autel du bâtiment [de la Knesset] », rue Begin, à Tel Aviv, le 14 septembre 2024. (Credit : Noam Lehmann/Times of Israel)
Jimmy Miller, cousin de l’otage Shiri Bibas, rallie la foule, accusant Netanyahu de faire durer une catastrophe qui ne sied pas à une nation développée.

« Où sommes-nous, en Afrique ? Il entraîne la foule dans un chant : « Ramenez tout le monde – maintenant ! Dans le cadre d’un accord – maintenant ! »

Une femme, habillée comme une statue de la liberté bâillonnée, tient une maquette de la Knesset et une pancarte sur laquelle on peut lire : « Assez de sacrifices humains sur l’autel du bâtiment de la [Knesset]. »

Plus près de la scène, un homme tient une liste de noms de ministres, sous le titre « Philadelphi criminals to justice », entourée de fausses taches de sang.

Un manifestant anti-gouvernement, pro-accord pour les otages, tenant une liste de noms de ministres, entourée de fausses taches de sang, sous le titre « Les criminels de Philadelphi à la justice », rue Begin, à Tel Aviv, le 14 septembre 2024. (Credit : Noam Lehmann/Times of Israel)

Frappe israélienne signalée près de Saïda au Liban

Les médias libanais font état de victimes dans une frappe de drone israélien sur une moto dans le village côtier de Sarafand, au sud de Sidon.

Aucun autre détail n’est encore disponible.

Tsahal : Deux drones frappent le nord de Kiryat Shmona ; aucun blessé

Deux drones lancés depuis le Liban ont touché une zone située au nord de Kiryat Shmona il y a peu, indique l’armée israélienne.

Aucun blessé n’a été signalé.

Tsahal a frappé la salle de commandement du Hamas à l’intérieur d’une ancienne école de Gaza City

L’armée israélienne indique avoir mené une frappe aérienne contre un groupe de terroristes dans une salle de commandement située dans une ancienne école de la ville de Gaza.

Selon Tsahal, le Hamas utilisait l’école Shuhada al-Zeitoun pour planifier et mener des attaques contre les troupes et Israël.

L’école servait de refuge aux habitants déplacés de Gaza, et les médias palestiniens font état de plusieurs victimes.

Afin d’atténuer les atteintes aux civils lors de la frappe, Tsahal affirme avoir pris « de nombreuses mesures », notamment en utilisant des munitions de précision, la surveillance aérienne et d’autres moyens de renseignement, et souligne que « le groupe terroriste du Hamas viole systématiquement le droit international et exploite brutalement les institutions civiles et la population comme bouclier humain pour ses activités de terrorisme ».

Tsahal : Les troupes ont tué plus de 100 terroristes à Rafah ces derniers jours

Des troupes de l'armée israélienne avec la 162e division opérant dans le quartier de Tel Sultan à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, sur cette photo diffusée le 14 septembre 2024. (Crédit : Armée israélienne)
Des troupes de l'armée israélienne avec la 162e division opérant dans le quartier de Tel Sultan à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, sur cette photo diffusée le 14 septembre 2024. (Crédit : Armée israélienne)

Ces derniers jours, les troupes de la 162e division ont tué plus de 100 terroristes lors d’opérations dans le quartier de Tel Sultan à Rafah dans le sud de la bande de Gaza, indique l’armée israélienne.

Toujours au cours de ces opérations, Tsahal affirme que les soldats ont localisé des lance-roquettes, des caches d’armes et d’autres infrastructures appartenant au groupe terroriste palestinien du Hamas.

Tsahal émet un ordre d’évacuation pour Beit Lahiya à Gaza après le tir de roquettes sur Ashkelon

Suite aux tirs de roquettes en provenance du nord de la bande de Gaza sur la ville côtière d’Ashkelon aujourd’hui, l’armée demande aux Palestiniens de Beit Lahiya d’évacuer les lieux.

Le colonel Avichay Adraee, porte-parole de Tsahal en langue arabe, publie une carte des zones à évacuer.

Il indique que « la zone spécifiée a été avertie à de nombreuses reprises par le passé » et qu’elle est « considérée comme une zone de combat dangereuse », suite à des tirs de roquettes répétés sur Israël.

Deux roquettes ont été lancées sur Ashkelon lors de l’attaque, l’une ayant été interceptée et l’autre ayant touché la mer.

Au cours des derniers mois, Tsahal a publié à maintes reprises des ordres d’évacuation pour des zones à partir desquelles des terroristes ont lancé des roquettes sur Israël.

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