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Un an après, les endeuillés se rassemblent à Tel Aviv pour honorer les morts du festival Nova

Ofri Rahum, qui a perdu plusieurs membres de sa famille le 7 octobre 2023, lors d'un événement commémoratif pour les familles endeuillées des victimes du massacre du Festival Supernova, à Tel Aviv, le 6 octobre 2024. (Crédit : Gavriel Fiske/Times of Israel)
Ofri Rahum, qui a perdu plusieurs membres de sa famille le 7 octobre 2023, lors d'un événement commémoratif pour les familles endeuillées des victimes du massacre du Festival Supernova, à Tel Aviv, le 6 octobre 2024. (Crédit : Gavriel Fiske/Times of Israel)

Une foule nombreuse s’est rassemblée dans une salle des fêtes de Tel Aviv pour une cérémonie officielle de commémoration des familles endeuillées qui ont perdu des êtres chers lors du massacre du Festival Supernova perpétré par le groupe terroriste palestinien du Hamas, le 7 octobre 2023.

L’événement, organisé par l’association communautaire Tribe of Nova, vise à « renforcer et honorer les familles endeuillées » en « commémorant la mémoire des 410 hommes et femmes assassinés lors du massacre de Nova et des fêtes avoisinantes » le 7 octobre, selon les organisateurs.

« Le temps passe vite, je n’arrive pas à croire que cela fait un an. C’est comme un rêve dont je veux me réveiller », déclare Ofri Rahum au Times of Israel avant le début de l’événement. La sœur de Rahum, qui était enceinte de quatre mois, le fiancé de sa sœur et l’oncle de Rahum ont tous été tués lors du Festival Nova.

La soirée commémorative aura lieu au Hangar 11, une salle populaire du port de Tel Aviv, parmi les dizaines d’autres organisées cette semaine pour marquer le premier anniversaire du pogrom perpétré par le groupe terroriste palestinien du Hamas le 7 octobre dans le sud d’Israël.

La cérémonie comprendra une prière collective de Yizkor pour ceux qui sont tombés au combat, des discours de membres de la famille, de courtes prestations de plusieurs artistes musicaux et une installation artistique dédiée à leur mémoire.

« C’est comme s’ils étaient partis en voyage et que nous attendions leur retour », explique Rahum.

« Toutes les familles sont présentes, c’est très important. C’est bon pour le cœur, un peu. »

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