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Netanyahu commémore les 10 ans de la 2e guerre du Liban

Le Premier ministre a déclaré que les attaquants affronteront une “poigne de fer”

(De gauche à droite) Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, le président Reuven Rivlin, le ministre de la Défense Avigdor Liberman et le chef d'Etat-major Gadi Eizenkot pendant la cérémonie officielle marquant le dixième anniversaire de la deuxième guerre du Liban de 2006, au cimetière militaire du mont Herzl, à Jérusalem, le 19 juillet 2016. (Crédit : AFP/Thomas Coex)
(De gauche à droite) Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, le président Reuven Rivlin, le ministre de la Défense Avigdor Liberman et le chef d'Etat-major Gadi Eizenkot pendant la cérémonie officielle marquant le dixième anniversaire de la deuxième guerre du Liban de 2006, au cimetière militaire du mont Herzl, à Jérusalem, le 19 juillet 2016. (Crédit : AFP/Thomas Coex)

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré mardi pendant la cérémonie marquant les dix ans de la deuxième guerre du Liban qu’Israël répondrait avec une « poigne de fer » s’il est attaqué par les groupes terroristes Hamas ou Hezbollah.

Netanyahu a déclaré pendant la cérémonie au cimetière militaire du mont Herzl qu’Israël était prêt à répondre au calme par le calme, mais était préparé à la guerre.

« Si le calme est préservé, ceux qui s’opposent à nous jouiront aussi du calme. Mais si nous devons répondre à une agression, la réponse sera puissante. Quiconque pense qu’il trouvera ici une ‘toile d’araignée’ affrontera un ‘mur de fer’, et sentira une poigne de fer. »

Il faisait ainsi allusion à un discours prononcé par Hassan Nasrallah, pendant lequel le chef du Hezbollah chiite libanais avait affirmé en 2000 que l’Etat juif était aussi « fragile qu’une toile d’araignée ».

Le Hezbollah et le Hamas, a-t-il dit, « ont établi des bases avancées pour l’Iran à notre frontière. Tout ce qui est arrivé au Moyen Orient ces dernières années s’inscrit dans la même tendance : le terrorisme islamique radical qui cherche à briser la liberté et la culture par ses coups d’épée. »

Netanyahu a estimé que la guerre de 2006 était un « affrontement entre une organisation terroriste extrémiste et Israël, une démocratie libre. »

« Ce terrorisme frappe non seulement à Sarona [à Tel Aviv] ou à [l’implantation d’]Otniel ; il frappe à Paris et à Nice, à Bruxelles et à Orlando. Nous sommes dans une campagne mondiale. Tout comme nous sommes conscients du caractère des menaces, nous nous préparons pour chaque éventualité. »

Déclenchée le 12 juillet 2006 après la capture à la frontière par le Hezbollah de deux soldats israéliens et la mort de trois autres, la guerre s’est prolongée pendant 34 jours.

Les affrontements ont fait 1 200 morts, essentiellement des civils du côté libanais et 160 Israéliens, en majorité militaires.

Le Hezbollah a tiré des milliers de roquettes vers le nord d’Israël qui a pour sa part mené des raids destructeurs au Liban.

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