Israël en guerre - Jour 475

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L’armée israélienne annonce une nouvelle série de frappes contre le Hezbollah

La marine israélienne abat un drone au-dessus de la mer Rouge en provenance de l’est ; Pour la première fois depuis la trêve, deux obus de mortier tirés par le Hezbollah sur le Mont Dov ; Le système de défense antiaérienne abat une roquette tirée depuis Gaza

  • Le kibboutz Manara déserté, à la frontière libanaise, le 28 novembre 2024. (Crédit : Avshalom Sassoni/Flash90)
    Le kibboutz Manara déserté, à la frontière libanaise, le 28 novembre 2024. (Crédit : Avshalom Sassoni/Flash90)
  • De la fumée s’élevant lors d'un bombardement israélien dans la plaine de Marjayoun, dans le sud du Liban, quelques jours après l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, le 30 novembre 2024. Israël a déclaré agir contre les violations de la trêve. (Crédit : AFP)
    De la fumée s’élevant lors d'un bombardement israélien dans la plaine de Marjayoun, dans le sud du Liban, quelques jours après l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, le 30 novembre 2024. Israël a déclaré agir contre les violations de la trêve. (Crédit : AFP)
  • Le pétrolier Sounion, battant pavillon grec, brûlant en mer Rouge à la suite d'une série d'attaques menées par les Houthis du Yémen, le 2 septembre 2024. (Crédit : Opération Aspides de l'Union européenne via AP)
    Le pétrolier Sounion, battant pavillon grec, brûlant en mer Rouge à la suite d'une série d'attaques menées par les Houthis du Yémen, le 2 septembre 2024. (Crédit : Opération Aspides de l'Union européenne via AP)
  • Un projectile dans le ciel d'Israël, alors que l'armée israélienne a déclaré avoir intercepté un missile tiré depuis le Yémen à l'aide du système de défense aérienne à longue portée Arrow, le 27 septembre 2024. (Crédit : Capture d'écran/X ; utilisée conformément à la clause 27a de la loi sur les droits d'auteur)
    Un projectile dans le ciel d'Israël, alors que l'armée israélienne a déclaré avoir intercepté un missile tiré depuis le Yémen à l'aide du système de défense aérienne à longue portée Arrow, le 27 septembre 2024. (Crédit : Capture d'écran/X ; utilisée conformément à la clause 27a de la loi sur les droits d'auteur)

Gaza : Paris, Londres et Berlin demandent une aide humanitaire « sans entrave »

Les ministres des Affaires étrangères de la France, du Royaume-Uni et de l’Allemagne ont appelé lundi Israël à assurer une aide humanitaire « sans entrave » à Gaza face à la « situation catastrophique » dans ce territoire, a indiqué le ministère français.

Les trois ministres « ont écrit (à leur homologue israélien), appelant à l’ouverture de points de passage et à la distribution d’aide humanitaire à Gaza, immédiate, sûre et sans entrave », rapporte le ministère français des Affaires étrangères sur son compte sur la plateforme X.

« La France, le Royaume-Uni et l’Allemagne appellent Israël à respecter ses obligations en matière de droit international humanitaire et à garantir la protection des populations civiles », poursuit-il.

Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a notamment critiqué les restrictions en place selon lui sur l’acheminement de l’aide, qualifiant les niveaux actuels de « largement insuffisants », dans un texte lu lors d’une conférence au Caire.

Israël blâme de son côté l’incapacité des organisations humanitaires à gérer et à distribuer de grandes quantités d’aide.

L’armée a mené une série de frappes contre le Hezbollah et ses installations

Des avions de chasse israéliens ont ciblé des membres du Hezbollah et des dizaines de rampes de lancement de roquettes et d’installations appartenant au groupe terroriste à travers le Liban il y a peu de temps, annonce l’armée israélienne.

Cette vague de frappes aériennes survient après une attaque au mortier du Hezbollah sur la région du mont Dov menée plus tôt dans la soirée, en violation de l’accord de cessez-le-feu.

De plus, l’armée israélienne affirme avoir frappé la rampe de lancement utilisée pour tirer les deux mortiers sur le mont Dov. Le site a été touché peu de temps après l’attaque.

« Les tirs du Hezbollah ce soir constituent une violation de l’accord de cessez-le-feu entre Israël et le Liban », a déclaré l’armée israélienne dans un communiqué.

« L’État d’Israël exige que les parties concernées au Liban assument leurs responsabilités et empêchent l’activité hostile du Hezbollah depuis le territoire libanais. L’État d’Israël demeure obligé de respecter les conditions de l’accord de cessez-le-feu au Liban », ajoute l’armée.

La marine israélienne abat un drone au-dessus de la mer Rouge en provenance de l’est

Un navire lance-missiles de la marine israélienne a abattu un drone au-dessus de la mer Rouge il y a peu de temps, selon l’armée.

Selon l’armée israélienne, le drone a été lancé contre Israël « depuis l’est », un terme utilisé pour décrire les attaques en provenance d’Irak.

Le drone a été abattu avant d’entrer dans l’espace aérien israélien, selon l’armée, et les sirènes n’ont donc pas retenti.

Trump lance de nouvelles menaces si les otages ne sont pas libérés avant son entrée en fonction

L'ancien président américain Donald Trump, alors candidat républicain à l'élection présidentielle, pose pour des photos avec des membres de la famille d'Edan Alexander, un otage détenu par le Hamas, après avoir visité la tombe du rabbin Menachem Mendel Schneerson, le 7 octobre 2024, à New York. (Crédit: AP Photo/Yuki Iwamura)
L'ancien président américain Donald Trump, alors candidat républicain à l'élection présidentielle, pose pour des photos avec des membres de la famille d'Edan Alexander, un otage détenu par le Hamas, après avoir visité la tombe du rabbin Menachem Mendel Schneerson, le 7 octobre 2024, à New York. (Crédit: AP Photo/Yuki Iwamura)

Le président-élu des États-Unis Donald Trump menace le Moyen-Orient d’une puissance de feu américaine sans précédent si les otages ne sont pas libérés avant son entrée en fonction le 20 janvier.

Trump a lancé cette menace pour la première fois lors de la Convention nationale républicaine en juillet, mais le dernier avertissement publié sur Truth Social intervient un jour après que le Hamas a publié une vidéo de propagande montrant l’otage américano-israélien Edan Alexander dans laquelle le jeune homme de 20 ans supplie Trump d’obtenir sa libération.

« Tout le monde parle des otages qui sont détenus de manière si violente, inhumaine et contre la volonté du monde entier, au Moyen-Orient – ​​mais ce ne sont que des paroles et aucune action ! », écrit Trump sur Truth Social, sans mentionner nommément Israël ou le groupe terroriste Hamas.

« S’il vous plaît, laissez cette VÉRITÉ servir à montrer que si les otages ne sont pas libérés avant le 20 janvier 2025, date à laquelle je prends fièrement mes fonctions de président des États-Unis, il y aura un prix TERRIBLE À PAYER au Moyen-Orient, et pour ceux qui sont aux commandes et qui ont perpétré ces atrocités contre l’humanité », écrit-il.

« Les responsables seront frappés plus durement que quiconque dans la longue et riche histoire des États-Unis d’Amérique. LIBÉREZ LES OTAGES MAINTENANT ! », ajoute-t-il.

L’armée israélienne appelle à évacuer des zones du sud de la bande de Gaza

L’armée israélienne a appelé lundi la population à évacuer des zones de la ville palestinienne de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, d’où selon elle opèrent « des organisations terroristes ».

« Pour votre sécurité, vous devez évacuer la zone immédiatement et vous déplacer vers la zone humanitaire », enjoint le porte-parole de l’armée Avichay Adraee dans un message en langue arabe posté sur X.

L’armée israélienne annonce mener des frappes sur des « cibles terroristes » au Liban

L’armée israélienne a annoncé lundi soir mener des frappes sur des « cibles terroristes » au Liban, après une attaque du Hezbollah vers le mont Dov.

« L’armée israélienne mène en ce moment des frappes contre des cibles terroristes au Liban », a dit l’armée dans un bref communiqué, les autorités israéliennes ayant prévenu auparavant qu’il y aurait une riposte aux tirs du Hezbollah.

Le cessez-le-feu négocié par les États-Unis entre Israël et le Hezbollah « tient bon » – Maison Blanche

Le porte-parole du Conseil national de sécurité des États-Unis, John Kirby, s'exprimant lors du briefing quotidien à la Maison Blanche, à Washington, le 26 octobre 2023. (Crédit : Ben Curtis/AP)
Le porte-parole du Conseil national de sécurité des États-Unis, John Kirby, s'exprimant lors du briefing quotidien à la Maison Blanche, à Washington, le 26 octobre 2023. (Crédit : Ben Curtis/AP)

Le cessez-le-feu conclu sous l’égide des Etats-Unis entre Israël et le groupe terroriste chiite libanais du Hezbollah « tient bon », a déclaré le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, John Kirby, minimisant les frappes transfrontalières quasi-quotidiennes qui se sont poursuivies de part et d’autre de la Ligne bleue depuis la mise en place de l’accord la semaine dernière.

S’exprimant devant les journalistes à bord de l’Air Force One, le porte-parole de la Maison Blanche a reconnu qu’il y a eu « quelques frappes sporadiques » ces derniers jours, mais il a affirmé qu’il s’agissait d’une diminution importante par rapport aux centaines de tirs de roquettes du Hezbollah et aux contre-attaques israéliennes qui avaient lieu avant l’entrée en vigueur du cessez-le-feu.

Kirby note que le cessez-le-feu prévoyait de renforcer le mécanisme d’application qui a déjà commencé à réagir aux événements sur le terrain. Ce mécanisme comprend désormais un général de l’armée américaine qui a été envoyé à l’ambassade des États-Unis à Beyrouth et qui travaillera avec le représentant civil américain, Amos Hochstein, pour répondre en temps réel aux violations signalées, a précisé Kirby.

Le porte-parole de la Maison Blanche affirme qu’Israël et le Liban restent attachés au cessez-le-feu, mais il admet que celui-ci n’a qu’une semaine et qu’il reste encore du travail à faire pour garantir le renforcement du mécanisme d’application.

Des véhicules de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) patrouillant dans la ville de Marjayoun, au sud du Liban, près de la frontière avec Israël, le 29 novembre 2024. (Crédit : AFP)

Interrogé sur le sujet lors d’un briefing ultérieur, Matthew Miller, le porte-parole du Département d’État, répond de la même manière, insistant sur le fait que le cessez-le-feu n’est pas rompu.

Il affirme que le mécanisme d’application dirigé par les États-Unis examine toujours les réclamations des deux parties concernant les violations du cessez-le-feu. « C’est ce que nous ferons au cours des jours et des mois à venir. »

« Si nous constatons des violations du cessez-le-feu, nous irons voir les parties concernées et leur demanderons de cesser ces agissements », a déclaré Miller.

Le porte-parole du Département d’État a refusé de commenter les informations selon lesquelles Hochstein aurait contacté Israël pour lui faire part de son inquiétude quant à l’application « trop agressive » du cessez-le-feu par ce pays.

Rien de nouveau sur l’accord pour les otages, le Hamas restant le principal obstacle – Maison Blanche

Le porte-parole du Conseil national de sécurité des États-Unis, John Kirby, s'exprimant lors du briefing quotidien à la Maison Blanche, à Washington, le 26 octobre 2023. (Crédit : Ben Curtis/AP)
Le porte-parole du Conseil national de sécurité des États-Unis, John Kirby, s'exprimant lors du briefing quotidien à la Maison Blanche, à Washington, le 26 octobre 2023. (Crédit : Ben Curtis/AP)

Le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, John Kirby, a déclaré qu’il n’y avait rien de nouveau concernant les efforts déployés pour obtenir la libération d’otages et un accord de cessez-le-feu à Gaza.

Il a insisté sur le fait que l’administration de Joe Biden continue de travailler sur ce dossier, mais que le groupe terroriste palestinien du Hamas reste « la principale pierre d’achoppement ».

Selon Kirby, le Hamas devrait désormais se sentir isolé à la suite de l’accord de cessez-le-feu conclu avec le groupe terroriste chiite libanais du Hezbollah au Liban, et ses dirigeants devraient accepter un accord pour mettre fin à la guerre.

De son côté, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré qu’Israël n’accepterait pas de mettre fin à la guerre de manière permanente, même en échange de la libération de tous les otages restants.

Halevi : Tsahal « attaquera fermement » après les violations de la trêve par le Hezbollah : Nous avons des plans prêts à être activés

Le chef d'état-major de l'armée israélienne, le lieutenant-général Herzl Halevi (au centre), en visite au sud-Liban, le 2 décembre 2024. (Crédit : Armée israélienne)
Le chef d'état-major de l'armée israélienne, le lieutenant-général Herzl Halevi (au centre), en visite au sud-Liban, le 2 décembre 2024. (Crédit : Armée israélienne)

Le chef d’état-major de l’armée israélienne, le lieutenant-général Herzl Halevi, a déclaré que Tsahal « attaquera fermement face aux graves violations du [groupe terroriste chiite libanais du] Hezbollah, et nous continuerons à le faire ».

« Nous avons des plans et des objectifs prêts à être activés à tout moment », a-t-il ajouté.

Les remarques de Halevi ont été faites lors d’une visite au sud du Liban plus tôt dans la journée.

Netanyahu déclare que les tirs de mortier du Hezbollah sur le nord d’Israël constituent une violation de la trêve, jurant « une réponse forte »

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu s'exprimant dans une déclaration vidéo sur l'accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, le 26 novembre 2024. (Crédit : Capture d'écran/GPO)
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu s'exprimant dans une déclaration vidéo sur l'accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, le 26 novembre 2024. (Crédit : Capture d'écran/GPO)

Après une attaque au mortier commise par le Hezbollah contre une position de Tsahal dans la région du Mont Dov, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a promis une réponse ferme.

« Les tirs du Hezbollah sur le mont Dov constituent une grave violation du cessez-le-feu, et Israël y répondra avec force », a-t-il fait savoir dans un communiqué.

« Nous sommes déterminés à continuer à faire respecter le cessez-le-feu et à répondre à toute violation du Hezbollah – une violation mineure sera traitée comme une violation majeure », a-t-il ajouté.

Le ministre de la Défense promet une « réponse sévère » aux tirs de mortier du Hezbollah sur une position de Tsahal

Le ministre de la Défense Israël Katz a promis « une réponse sévère » après l’attaque au mortier du Hezbollah qui a pris pour cible une position de Tsahal dans le secteur du Mont Dov dans la soirée.

« Nous avons promis d’agir contre toute violation du cessez-le-feu par le Hezbollah, et c’est exactement ce que nous ferons », a-t-il écrit sur X.

« Les tirs du Hezbollah sur un poste de Tsahal au Mont Dov feront l’objet d’une réponse sévère », a ajouté Katz.

Une roquette tirée sur Israël depuis le sud de la bande de Gaza abattue

Une roquette lancée depuis le sud de la bande de Gaza – à Khan Younès – en direction des villes frontalières, en Israël, a été interceptée par le système de défense antiaérienne il y a peu, selon Tsahal.

Les sirènes ont été activées dans les communautés d’Ein Hashlosha et de Nirim, dans le sud du pays, au moment de l’attaque.

Il n’y a pas eu de blessés.

Le Hezbollah ne prévoit pas d’envoyer des éléments dans le nord de la Syrie pour soutenir l’armée syrienne – média

Des combattants anti-government chevauchant des véhicules militaires alors qu'ils conduisent le long d'une route dans la partie est de la province d'Alep, le 1er décembre 2024. (Crédit : Aref Tammawi/AFP)
Des combattants anti-government chevauchant des véhicules militaires alors qu'ils conduisent le long d'une route dans la partie est de la province d'Alep, le 1er décembre 2024. (Crédit : Aref Tammawi/AFP)

Le Hezbollah n’a pas l’intention d’envoyer des éléments dans le nord de la Syrie pour soutenir l’armée syrienne, ont déclaré à l’agence Reuters trois sources au fait des réflexions du groupe terroriste chiite libanais soutenu par l’Iran.

Une alliance de combattants rebelles islamistes a lancé une offensive surprise la semaine dernière dans le nord de la Syrie, balayant les territoires tenus par le gouvernement dans les provinces d’Alep et d’Idlib et forçant les troupes gouvernementales à quitter la ville d’Alep, ce qui constitue le plus grand revers pour le dictateur syrien Bashar el-Assad depuis de nombreuses années.

Plus tôt dans la journée, le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqchi, a déclaré que l’armée syrienne était capable d’affronter les rebelles, mais que « les groupes de résistance aideront et que l’Iran fournira tout le soutien nécessaire », faisant référence à « l’axe de la résistance » de Téhéran, qui comprend le Hamas à Gaza, le Hezbollah au Liban, les Houthis au Yémen et des groupes militants syriens et irakiens.

Les sources ont déclaré à Reuters que le Hezbollah n’avait pas encore été invité à intervenir, ajoutant que le groupe terroriste chiite libanais n’était pas prêt à envoyer des forces en Syrie à ce stade, après plus d’un an de combats transfrontaliers avec Israël, dont deux mois de combats terrestres intenses dans le sud du Liban.

Depuis le 8 octobre 2023, le groupe terroriste chiite libanais attaque quotidiennement les communautés israéliennes et les postes militaires le long de la frontière avec des roquettes, des drones, des missiles antichars et d’autres moyens, affirmant qu’il le fait pour soutenir Gaza dans le cadre de la guerre contre le groupe terroriste palestinien du Hamas qui s’y déroule. Un fragile cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah est entré en vigueur la semaine dernière.

L’une des sources indique que le groupe terroriste a retiré du nord de la Syrie des officiers supérieurs responsables d’Alep afin de renforcer ses capacités terrestres contre Israël.

Deux autres sources, l’une libanaise et l’autre syrienne, affirment que le Hezbollah a retiré ses forces de Syrie à la mi-octobre, lorsque les combats avec Israël le long de la frontière se sont intensifiés.

Le Hezbollah n’a pas souhaité faire de commentaire.

Les sirènes d’alerte à la roquette activées dans les localités frontalières de Gaza

Les sirènes d’alerte à la roquette ont été activées dans deux localités situées à proximité de la frontière avec Gaza.

Les alertes ont retenti à Ein Hashlosha et Nirim.

Aucun blessé n’a été signalé pour le moment, et il n’y aurait pas de dégât.

Le Fatah et le Hamas discutent au Caire de la gestion de Gaza après la guerre (ministre égyptien)

Des délégations du Fatah et du Hamas palestiniens sont réunies au Caire pour « parvenir à une entente mutuelle » sur la gestion de la bande de Gaza après-guerre « sous un contrôle total de l’Autorité palestinienne », a déclaré lundi le ministre égyptien des Affaires étrangères.

« Il y a effectivement deux délégations des mouvements Fatah et Hamas au Caire qui se consultent et délibèrent pour parvenir rapidement à une entente mutuelle concernant la gestion des affaires quotidiennes dans la bande de Gaza sous un contrôle total de l’Autorité palestinienne », a déclaré Badr Abdelatty lors d’une conférence de presse au Caire lundi.

Il a précisé que l’Autorité palestinienne devait « être pleinement habilitée à prendre en charge les questions de manière claire et complète après la fin de l’occupation israélienne ».

Ces pourparlers s’inscrivent dans le cadre des efforts de médiation déployés par l’Égypte pour obtenir un cessez-le-feu entre Israël et le groupe terroriste du Hamas et pour élargir l’accès humanitaire à l’enclave.

Israël rejette tout rôle du Hamas à Gaza après la fin de la guerre, déclarant qu’il ne faisait pas confiance à l’Autorité palestinienne présidée par Mahmoud Abbas pour diriger l’enclave.

Hezbollah : Les tirs sur le nord d’Israël sont un « avertissement »

Dans un communiqué, le groupe terroriste du Hezbollah a confirmé avoir lancé une attaque contre une position de l’armée israélienne dans la région du Mont Dov il y a peu, suite à ce qu’il a affirmé être des « violations répétées du cessez-le-feu » de la part d’Israël.

Le Hezbollah a affirmé que son attaque contre le Mont Dov était « un premier avertissement » en réponse aux frappes israéliennes sur le Liban pendant le cessez-le-feu et face à la « violation continue de l’espace aérien libanais par des avions israéliens hostiles ».

Tsahal a nié avoir violé le cessez-le-feu, déclarant que ses attaques de ces derniers jours visaient venaient répondre aux violations de la trêve par le Hezbollah.

Des roquettes auraient été tirées depuis le Liban sur des positions militaires israéliennes

Plusieurs roquettes auraient été tirées il y a peu depuis le Liban, visant des positions militaires israéliennes à la frontière, dans la région du Mont Dov.

Aucun blessé n’a été signalé.

L’armée n’a pas réagi à ces tirs de roquettes.

Il s’agirait du premier tir de roquette en provenance du Liban depuis l’entrée en vigueur, la semaine dernière, d’un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah.

Les soldats auraient construit une douzaine de nouvelles bases dans le centre de Gaza ces trois derniers mois

Des réservistes de la 252e division opérant dans la zone du corridor de Netzarim, dans le centre de la bande de Gaza, sur une photo publiée le 6 novembre 2024. (Crédit : Armée israélienne)
Des réservistes de la 252e division opérant dans la zone du corridor de Netzarim, dans le centre de la bande de Gaza, sur une photo publiée le 6 novembre 2024. (Crédit : Armée israélienne)

Israël a considérablement renforcé sa présence dans le centre de la bande de Gaza au cours des derniers mois, et le territoire contrôlé par Tsahal autour du « couloir de Netzarim » s’est rapidement élargi, a fait savoir le New York Times – ce qui laisse penser que les troupes pourraient se préparer à rester à l’intérieur de l’enclave palestinienne, au moins dans un avenir proche.

S’appuyant sur des images satellite et sur des vidéos, le New York Times a fait savoir que les forces israéliennes ont également construit une dizaine de nouvelles bases autour du corridor, au cours des trois derniers mois.

En réponse, un porte-parole de l’armée israélienne a déclaré au Times que « tout ce qui a été construit là-bas pourra être démantelé en vingt-quatre heures ».

Le corridor de Netzarim – qui n’était au départ qu’une bande de terre de six kilomètres environ – est construit autour d’une route qui se trouve au sud de Gaza City, ce qui permet aux soldats de mener des raids dans le nord et dans le centre de Gaza. Ce qui autorise aussi Israël à contrôler l’accès vers le nord de la bande, à un moment où les Palestiniens cherchent à revenir chez eux après avoir fui vers le sud.

Il permet également à Israël de coordonner les livraisons d’aide humanitaire directement dans le nord de la bande de Gaza.

Ces derniers mois, cependant, le corridor s’est considérablement élargi, s’étendant jusqu’à la périphérie du quartier Zeitoun, à Gaza City, au nord, et jusqu’à la rivière du Wadi Gaza, au sud- ce qui représente une superficie totale d’environ 47 kilomètres-carrés.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu en visite dans le corridor de Netzarim, dans le centre de la bande de Gaza, le 19 novembre 2024. (Crédit : Maayan Toaf/GPO)

Au cours des trois derniers mois, les soldats israéliens ont tenté de créer ce qui semble être une « zone tampon » à la périphérie du périmètre de terrain contrôlé par l’armée, selon le New York Times, et environ 600 bâtiments ont été démolis.

À l’intérieur de la zone élargie du corridor de Netzarim, les images satellites analysées par le Times semblent montrer que les troupes ont fait des constructions à un rythme rapide – édifiant ou étendant les infrastructures existantes de 12 bases militaires depuis le début du mois de septembre.

Au total, selon le journal, Tsahal a construit au moins 19 grandes bases militaires et des dizaines d’autres plus petites dans la zone entourant le corridor de Netzarim depuis le début de la guerre contre le Hamas, au mois d’octobre dernier.

Syrie : réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU mardi

Le Conseil de sécurité de l’ONU tiendra mardi une réunion d’urgence sur la Syrie après une offensive fulgurante des rebelles qui ont réussi à prendre de vastes régions du nord du pays aux forces gouvernementales, ont indiqué lundi plusieurs sources diplomatiques à l’AFP.

La réunion a été demandée par le gouvernement syrien, et relayée par les trois membres africains du Conseil (Mozambique, Sierra Leone, Algérie) et le Guyana, a précisé une de ces sources.

Les présidents russe et iranien assurent leur soutien « inconditionnel » à la Syrie d’al-Assad

Le président russe Vladimir Poutine (à droite) et le président iranien Massoud Pezeshkian se serrant la main lors de leur rencontre en marge du Forum international "L'interconnexion des temps et des civilisations - la base de la paix et du développement", à Achgabat, au Turkménistan, le 11 octobre 2024. (Crédit : Alexander Shcherbak, Sputnik, Kremlin Pool Photo via AP)
Le président russe Vladimir Poutine (à droite) et le président iranien Massoud Pezeshkian se serrant la main lors de leur rencontre en marge du Forum international "L'interconnexion des temps et des civilisations - la base de la paix et du développement", à Achgabat, au Turkménistan, le 11 octobre 2024. (Crédit : Alexander Shcherbak, Sputnik, Kremlin Pool Photo via AP)

Le président russe Vladimir Poutine et son homologue iranien Massoud Pezeshkian ont affirmé leur soutien « inconditionnel » à la Syrie de Bachar al-Assad, a indiqué lundi le Kremlin, après une offensive fulgurante de rebelles qui ont réussi à prendre de vastes régions du nord de la Syrie.

« Un soutien inconditionnel a été exprimé en faveur des actions menées par les autorités légitimes de la Syrie pour rétablir l’ordre constitutionnel et l’intégrité territoriale du pays », a indiqué le Kremlin dans un communiqué à l’issue d’un appel téléphonique entre les deux dirigeants. MM. Poutine et Pezeshkian ont « souligné l’importance de coordonner les efforts (…) avec la participation de la Turquie », celle-ci soutenant des factions rebelles, précise le communiqué.

Les États-Unis auraient averti Israël qu’il violait certaines clauses du cessez-le-feu

L'envoyé spécial américain Amos Hochstein s'adressant aux médias après sa rencontre avec le président du Parlement Nabih Berri, à Beyrouth, au Liban, le 20 novembre 2024. (Crédit : Bilal Hussein/AP)
L'envoyé spécial américain Amos Hochstein s'adressant aux médias après sa rencontre avec le président du Parlement Nabih Berri, à Beyrouth, au Liban, le 20 novembre 2024. (Crédit : Bilal Hussein/AP)

Les États-Unis ont averti Israël qu’il violait certaines clauses de l’accord de cessez-le-feu conclu avec le Liban, rapportent les médias israéliens.

L’envoyé spécial américain Amos Hochstein aurait envoyé un message exhortant Israël à respecter l’accord. Il a notamment cité les vols de drones israéliens au-dessus de Beyrouth, selon les médias israéliens qui citent des sources israéliennes.

Le bureau du Premier ministre s’est refusé à tout commentaire.

Cet avertissement intervient un jour après que les médias israéliens ont rapporté que, selon des sources diplomatiques françaises, la France a accusé Israël d’avoir violé 52 fois le cessez-le-feu.

Selon ces sources, bien qu’Israël ait agi contre les propres violations du Hezbollah, l’armée israélienne n’a pas suivi les voies appropriées pour signaler les transgressions du groupe terroriste libanais à l’organisme international de surveillance dirigé par les États-Unis, dont la France est membre, comme l’exigent les termes de l’accord.

Le Premier ministre Netanyahu a déclaré dimanche qu’Israël « appliquait très résolument l’accord de cessez-le-feu et que chaque violation entraînait immédiatement une réaction intense de la part de l’armée israélienne ». Il a promis que cela continuerait.

Liberman : Nous avons jusqu’au 20 janvier pour porter un coup dévastateur à l’Iran

Le président d’Yisrael Beytenu, Avigdor Liberman, lors d'une réunion de son parti à la Knesset, le 15 juillet 2024. (Yonatan Sindel/Flash90)
Le président d’Yisrael Beytenu, Avigdor Liberman, lors d'une réunion de son parti à la Knesset, le 15 juillet 2024. (Yonatan Sindel/Flash90)

Le chef de file d’Yisrael Beytenu, Avigdor Liberman, exhorte le gouvernement à cesser de tergiverser et à agir fermement contre l’Iran, affirmant qu’Israël doit agir avant que le président américain élu Donald Trump ne prenne ses fonctions.

« Ce que nous voyons maintenant, c’est à nouveau des délibérations, des hésitations sur l’Iran », a déclaré Liberman lors d’une réunion de sa faction à la Knesset.

« Comme je l’ai déjà dit et le répète, c’est la dernière chance. Nous avons jusqu’au 20 janvier pour porter un coup dévastateur à l’Iran ».

Liberman critique également le cessez-le-feu au Liban, estimant qu’il est insuffisant et qu’il ne fera que donner au Hezbollah le temps de se regrouper avant la prochaine guerre qui aura lieu dans cinq ou six ans.

Liban: la France dit à Israël que « toutes les parties » doivent respecter le cessez-le-feu

Le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot a insisté lundi auprès de son homologue israélien Gideon Saar sur « la nécessité que toutes les parties respectent le cessez-le-feu au Liban », selon un communiqué du ministère français des Affaires étrangères.

Cet entretien téléphonique intervient alors que plusieurs frappes israéliennes ont visé le Liban depuis l’entrée en vigueur du cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, le 27 novembre.

Saar a rejeté la responsabilité sur le Hezbollah.

Tsahal confirme des frappes sur des cibles du Hezbollah « menaçantes » et contraires à la trêve

Sur cette photo prise depuis le nord d’Israël, le long de la frontière avec le sud-Liban, on voit une colonne de fumée qui s’élève au-dessus de Khiam, au Liban, le 2 décembre 2024 (Photo par Jalaa MAREY / AFP)
Sur cette photo prise depuis le nord d’Israël, le long de la frontière avec le sud-Liban, on voit une colonne de fumée qui s’élève au-dessus de Khiam, au Liban, le 2 décembre 2024 (Photo par Jalaa MAREY / AFP)

L’armée israélienne a confirmé avoir mené plusieurs frappes au Liban, à la suite de ce qu’elle qualifie d’actions du Hezbollah « constitutives d’une menace pour l’État d’Israël et d’infractions aux accords entre Israël et le Liban ».

Les militaires disent avoir frappé plusieurs véhicules militaires en train d’opérer dans une usine de fabrication de missiles du Hezbollah, dans la vallée de la Békaa, ainsi que des véhicules utilisés par le Hezbollah pour transporter des armes en plusieurs endroits de la frontière libano-syrienne, dans le district d’Hermel.

L’armée libanaise a indiqué que l’une des frappes avait visé un bulldozer militaire en train d’effectuer des travaux de fortification à l’intérieur de la base militaire d’Al-Abbara, près de la frontière entre le Liban et la Syrie.

L’armée a fait savoir que l’incident faisait l’objet d’une enquête.

L’armée a par ailleurs revendiqué des frappes à l’encontre de plusieurs membres du Hezbollah dans le sud-Liban aujourd’hui.

« L’armée israélienne est déployées dans le sud-Liban pour agir contre toute menace contre l’État d’Israël », a conclu l’armée.

Liban: le président du Parlement accuse Israël de « violation flagrante » de l’accord de cessez-le-feu

Le président du Parlement libanais, Nabih Berri, à Beyrouth, au Liban, le 11 mai 2018. (Crédit : AP Photo/Hussein Malla)
Le président du Parlement libanais, Nabih Berri, à Beyrouth, au Liban, le 11 mai 2018. (Crédit : AP Photo/Hussein Malla)

Le président du Parlement libanais Nabih Berri, allié du Hezbollah pro-iranien, a accusé lundi Israël de « violation flagrante » du cessez-le-feu avec le Liban entré en vigueur le 27 novembre.

Dans un communiqué, M. Berri a appelé le comité chargé de superviser la trêve, qui comprend les Etats-Unis et la France, « à entamer urgemment son action et contraindre Israël à arrêter ses violations et se retirer » du territoire libanais.

Des terroristes du Hamas posent des explosifs dans des bâtiments de Gaza – vidéo de Tsahal

L’armée israélienne diffuse des vidéos obtenues à partir de caméras appartenant à des terroristes et montrant ces derniers en train de poser des pièges dans des bâtiments de Beit Lahiya, dans le nord de la bande de Gaza.

Selon l’armée, les troupes de la Brigade Kfir qui fouillaient un bâtiment à Beit Lahiya ont trouvé plusieurs engins explosifs cachés à côté d’une caméra qui avait filmé les terroristes en train de les poser.

Le bâtiment a ensuite été démoli.

Lors d’un autre raid, l’armée israélienne affirme que les troupes ont trouvé une caméra dans un bâtiment montrant des terroristes en train de poser des bombes dans un appartement. À côté de ce bâtiment, les troupes ont également trouvé un site de lancement de roquettes, qui a été démoli, ajoute l’armée.

Au moment où Téhéran envoie des renforts en Syrie, Tsahal lui dit de ne pas livrer d’armes au Hezbollah

Le porte-parole de Tsahal, le contre-amiral Daniel Hagari, lors d'une interview pour Sky News Arabia, le 2 décembre 2024 (Capture d'écran)
Le porte-parole de Tsahal, le contre-amiral Daniel Hagari, lors d'une interview pour Sky News Arabia, le 2 décembre 2024 (Capture d'écran)

Sur l’antenne de à Sky News Arabia, le porte-parole de Tsahal, le contre-amiral Daniel Hagari, a déclaré que l’armée savait que l’Iran envoyait des renforts en Syrie en réaction à l’attaque des insurgés.

« Nous suivons de près ce qui se passe en Syrie. Nous avons vu que le régime iranien envoyait des renforts en Syrie », a déclaré Hagari, selon l’armée.

Il a dit que « la Syrie appartient aux Syriens » et que « ce qui se passe en Syrie concerne la Syrie et non Israël » – mais l’armée israélienne « s’assurera que l’Iran ne fasse pas passer d’armes en contrebande au Liban et au Hezbollah ».

« Nous devons nous assurer que nous ne sommes pas menacés. Nous sommes un pays souverain et nous veillerons à ce que les armes iraniennes ne passent pas en contrebande pour finir entre les mains du Hezbollah », a-t-il ajouté.

« Le Hezbollah a été vaincu lors des combats et nous devons nous assurer qu’il ne reçoive pas d’armes de l’Iran via la Syrie », a poursuivi Hagari.

« S’ils tentent de le faire, alors nous agirons en conséquence », a-t-il ajouté.

S’agissant du cessez-le-feu avec le Hezbollah, Hagari a déclaré : « Le peuple libanais et le gouvernement libanais doivent s’assurer que ces endroits, à Beyrouth comme dans le sud-Liban, soient exempts d’armes – ni dans les maisons, ni dans les jardins, ni dans les chambres d’enfant ».

« Nous sommes attachés à l’accord de cessez-le-feu. Soixante jours, c’est une étape destinée à s’assurer que le Hezbollah ne présente plus de menace et ne viole pas l’accord, comme cela s’est produit en 2006. Le gouvernement libanais et les forces de la FINUL doivent aussi faire leur part du travail : c’est dans leur intérêt. Nous avons besoin de cette période pour nous assurer qu’il n’y a plus de bases terroristes là-bas », a-t-il conclu.

Après les pourparlers au Caire, le Hamas dit attendre la pression internationale sur Israël pour mettre fin à la guerre

Des personnes inspectant les dégâts causés par une frappe aérienne israélienne sur le camp de réfugiés de Bureij, dans le centre de la bande de Gaza, le 8 octobre 2024 (Crédit : Eyad Baba/AFP)
Des personnes inspectant les dégâts causés par une frappe aérienne israélienne sur le camp de réfugiés de Bureij, dans le centre de la bande de Gaza, le 8 octobre 2024 (Crédit : Eyad Baba/AFP)

Une délégation du Hamas a discuté d’un cessez-le-feu à Gaza avec des responsables des services de renseignement égyptiens, ont déclaré à l’AFP deux responsables du groupe terroriste palestinien.

La « délégation a rencontré le chef des renseignements généraux égyptiens, le général de division Hassan Rashad, et un certain nombre de responsables des renseignements égyptiens, et a discuté des moyens d’arrêter la guerre, d’apporter de l’aide et d’ouvrir le point de passage de Rafah » à la frontière entre Gaza et l’Egypte, a déclaré un haut responsable du Hamas qui a participé à la réunion du Caire dimanche soir.

Un second responsable du Hamas, également présent au Caire, déclare à l’AFP que « l’Egypte, le Qatar et la Turquie font de gros efforts pour parvenir à un accord de cessez-le-feu et d’échange de prisonniers », en référence à un échange prévu d’otages israéliens innocents détenus à Gaza contre des prisonniers palestiniens détenus en Israël pour atteinte à la sécurité nationale.

« Notre peuple palestinien attend que les pressions américaines et internationales s’exercent sur [le Premier ministre Benjamin] Netanyahu pour qu’il arrête la guerre et parvienne à un accord, comme cela s’est produit au Liban », ajoute le responsable.

Le Liban annonce la mort d’une personne dans une frappe de drone israélienne

Le ministère de la Santé libanais annonce la mort d’une personne dans une attaque au drone israélienne sur la ville de Marjayoun, dans le sud du Liban.

L’armée israélienne n’a pas fait de commentaire dans l’immédiat.

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