Israël en guerre - Jour 646

Rechercher

Washington approuve le projet syrien d’intégrer les combattants djihadistes étrangers dans l’armée nationale

Illustration : Un combattant islamiste de l'opposition masqué portant un drapeau du groupe islamiste radical Hayat Tahrir al-Sham (HTS), l’ex branche d’Al-Qaïda en Syrie, dans la cour de la mosquée des Omeyyades dans la Vieille Ville fortifiée de Damas, en Syrie, le 10 décembre 2024. (Crédit : Hussein Malla/AP)
Illustration : Un combattant islamiste de l'opposition masqué portant un drapeau du groupe islamiste radical Hayat Tahrir al-Sham (HTS), l’ex branche d’Al-Qaïda en Syrie, dans la cour de la mosquée des Omeyyades dans la Vieille Ville fortifiée de Damas, en Syrie, le 10 décembre 2024. (Crédit : Hussein Malla/AP)

DAMAS/AMMAN, Syrie/Jordanie — Les États-Unis ont donné leur feu vert à un plan du nouveau gouvernement syrien visant à intégrer des milliers d’anciens combattants djihadistes étrangers dans l’armée nationale, à condition que cela se fasse en toute transparence, a déclaré l’envoyé spécial du président américain Donald Trump.

Trois responsables syriens de la Défense ont déclaré que, dans le cadre de ce plan, quelque 3 500 combattants étrangers, principalement des Ouïghours originaires de Chine et de pays voisins, rejoindraient une unité nouvellement formée, la 84ᵉ division de l’armée syrienne, qui comprendrait également des Syriens.

Interrogé par Reuters à Damas sur la question de savoir si Washington approuvait l’intégration de ces combattants étrangers dans la nouvelle armée syrienne, Thomas Barrack, ambassadeur américain en Turquie nommé le mois dernier envoyé spécial de Trump en Syrie, a répondu : « Je dirais qu’il y a bien une entente, qui repose sur la transparence. »

Il a ajouté qu’il valait mieux garder ces combattants islamistes, dont beaucoup sont « très loyaux » envers le nouveau gouvernement syrien dirigé par Ahmed al-Sharaa, l’ancien chef du groupe islamiste radical Hayat Tahrir al-Sham (HTS), l’ex-branche d’Al-Qaïda en Syrie, dans le cadre d’un projet d’État plutôt que de les exclure.

La question du sort des étrangers ayant rejoint les rebelles islamistes syriens de HTS pendant les treize années de guerre entre les groupes rebelles islamistes et le dictateur syrien Bashar el-Assad est l’une des questions les plus épineuses qui entravent le rapprochement avec l’Occident depuis que HTS, une ancienne branche d’Al-Qaïda, a renversé Assad et pris le pouvoir l’an dernier.

Au moins jusqu’au début du mois dernier, les États-Unis ont exigé l’exclusion générale des combattants étrangers des forces de sécurité.

S'inscrire ou se connecter
Veuillez utiliser le format suivant : example@domain.com
Se connecter avec
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation
S'inscrire pour continuer
Se connecter avec
Se connecter pour continuer
S'inscrire ou se connecter
Se connecter avec
check your email
Consultez vos mails
Nous vous avons envoyé un email à gal@rgbmedia.org.
Il contient un lien qui vous permettra de vous connecter.
image
Inscrivez-vous gratuitement
et continuez votre lecture
L'inscription vous permet également de commenter les articles et nous aide à améliorer votre expérience. Cela ne prend que quelques secondes.
Déjà inscrit ? Entrez votre email pour vous connecter.
Veuillez utiliser le format suivant : example@domain.com
SE CONNECTER AVEC
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation. Une fois inscrit, vous recevrez gratuitement notre Une du Jour.
Register to continue
SE CONNECTER AVEC
Log in to continue
Connectez-vous ou inscrivez-vous
SE CONNECTER AVEC
check your email
Consultez vos mails
Nous vous avons envoyé un e-mail à .
Il contient un lien qui vous permettra de vous connecter.