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Antisémitisme : L’ADL présente une pétition au Département d’Etat au sujet du poste à pourvoir

La position de l'envoyé spécial pour lutter contre l'antisémitisme est vacante depuis que Trump est président

Le secrétaire d'État américain Rex Tillerson lors d'une conférence de presse à Doha, le 11 juillet 2017. (Crédit : AFP/STRINGER)
Le secrétaire d'État américain Rex Tillerson lors d'une conférence de presse à Doha, le 11 juillet 2017. (Crédit : AFP/STRINGER)

WASHINGTON – La Ligue anti-diffamation (ADL) a adressé une requête au Département d’Etat américain appelant le président américain Donald Trump et le secrétaire d’État américain Rex Tillerson à pourvoir le poste d’envoyé spécial pour surveiller et combattre l’antisémitisme le plus rapidement possible.

Mardi, lorsque la pétition a été présentée, l’ADL avait recueilli 4 830 signatures.

Le poste d’émissaire, mandaté par la Loi de 2004 sur la Sensibilisation à l’antisémitisme, est vacant depuis l’arrivée de l’administration Trump au pouvoir.

Dans la pétition, l’ADL souligne que, en plus de travailler avec le Département d’Etat, l’envoyé est essentiel pour « diminuer la haine anti-juive à l’étranger ».

« Nous savons personnellement que ce rôle est essentiel à la lutte contre l’antisémitisme et il est essentiel que les États-Unis continuent de manifester leur leadership dans la lutte contre la haine dans le monde », a déclaré Jonathan A. Greenblatt, le directeur de l’ADL.

« Et nous ne sommes pas seuls. Des milliers d’Américains ont signé notre pétition en demandant au Département d’Etat d’agir rapidement pour pourvoir ce poste diplomatique essentiel », a insisté Greenblatt. « Il n’y a simplement aucune raison de reporter cette décision ne serait-ce que d’un jour supplémentaire ».

Jonathan Greenblatt, président de l'ADL. (Crédit : autorisation)
Jonathan Greenblatt, président de l’ADL. (Crédit : autorisation)

En juin, Tillerson a déclaré devant le Congrès que l’administration n’avait pas encore décidé si le poste serait pourvu.

Une partie de son argument contre la nomination d’un envoyé spécial était que s’il y a un bureau spécial à Washington qui se consacre à la lutte contre l’antisémitisme, les missions locales du Département d’Etat négligeraient leurs responsabilités qui les obligent elles aussi à lutter contre le problème.

Deux anciens envoyés, Hannah Rosenthal et Ira Forman, qui ont chacun occupé le poste sous les deux administrations Obama, ont vigoureusement contesté l’explication de Tillerson et ont déploré les conséquences possibles si le poste n’était pas pourvu.

L’équipe du Times of Israel a contribué à cet article.

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