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Jake Sullivan minimise les menaces de Trump au Hamas : le groupe terroriste « vit déjà l’enfer »

Le conseiller à la Sécurité nationale a par ailleurs indiqué que les circonstances étaient réunies pour qu'un accord soit conclu rapidement

Jacob Magid est le correspondant du Times of Israël aux États-Unis, basé à New York.

Un panneau d'affichage électronique diffuse une image du président élu américain Donald Trump et fait référence à sa menace de déchaîner l'enfer si les otages détenus à Gaza ne sont pas libérés avant son investiture à la fin du mois, à Tel Aviv, le 8 janvier 2025. (Oded Balilty/AP)
Un panneau d'affichage électronique diffuse une image du président élu américain Donald Trump et fait référence à sa menace de déchaîner l'enfer si les otages détenus à Gaza ne sont pas libérés avant son investiture à la fin du mois, à Tel Aviv, le 8 janvier 2025. (Oded Balilty/AP)

Le conseiller américain à la Sécurité nationale, Jake Sullivan, a semblé rejeter l’efficacité des menaces du président-élu Donald Trump lorsqu’il a déclaré que l’enfer allait se déchaîner sur le Hamas s’il ne libérait pas les otages avant son investiture présidentielle, le 20 janvier.

« J’ai été frappé par la phrase ‘l’enfer s’abattra’ ou ‘l’enfer tout entier se déchaînera’, parce que si vous êtes un membre du Hamas à Gaza, je crois qu’il est juste de dire que vous avez vu l’enfer s’abattre sur vous depuis [15] mois », a déclaré Sullivan dans une interview accordée à Bloomberg.

Il a souligné qu’Israël a « totalement détruit les bataillons du Hamas », notant que Tsahal a éliminé les principaux dirigeants du Hamas à Gaza et que le réseau militaire du groupe terroriste a été considérablement affaibli.

« La puissance de feu et la pression militaire exercées sur le Hamas ont été assez spectaculaires au cours des [15] derniers mois […] et avec cette période imminente de transition d’un président à l’autre […] nous avons des circonstances qui pourraient nous permettre de conclure un accord », a déclaré Sullivan.

Lorsqu’il lui a été demandé si la date limite du 20 janvier fixée par les médiateurs américains, qataris et égyptiens avait permis de faire avancer les négociations, le principal conseiller de Joe Biden a répondu par l’affirmative.

Sullivan a expliqué que peu après l’élection présidentielle de novembre, le président américain Joe Biden avait donné pour instruction à son équipe de Sécurité nationale de travailler avec la nouvelle administration et de veiller à ce qu’il y ait un « front uni » concernant les efforts visant à trouver un accord permettant la libération des otages.

« Il ne s’agit pas d’une question partisane. Il s’agit d’une question américaine qui consiste à faire sortir nos otages, et tous les otages, à mettre fin aux combats et à acheminer l’aide humanitaire à Gaza », a-t-il déclaré.

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