La mère de l’otage israélo-britannique Emily Damari craint qu’elle ne soit morte
Mandy Damari a déclaré à la BBC salué la déclaration de Donald Trump, qui a menacé de "faire payer un prix TERRIBLE" si les otages ne sont pas libérés d’ici à son investiture
La mère de l’otage israélo-britannique Emily Damari a déclaré mercredi qu’elle craignait pour la vie de sa fille, enlevée lors du pogrom perpétré par le groupe terroriste palestinien du Hamas le 7 octobre 2023, dans le sud d’Israël.
« Je crains qu’elle ne soit morte », a déclaré Mandy Damari à la BBC.
« Et si elle n’est pas morte, elle n’a pas assez à manger, elle ne peut pas se laver ni boire de l’eau, elle pourrait être malade. »
« Elle souffre de blessures par balle à la main et à la jambe […] Je m’inquiète tous les jours, je m’inquiète à chaque instant parce qu’elle pourrait être assassinée à tout moment, simplement parce qu’elle se trouve là-bas », a-t-elle ajouté.
Elle a salué la déclaration du président-élu des États-Unis, Donald Trump, qui a menacé de « faire payer un prix TERRIBLE » si les otages ne sont pas libérés d’ici le 20 janvier.
« Cela m’a remonté le moral », a-t-elle déclaré.
Emily a été emmenée de force dans la bande de Gaza le 7 octobre 2023 par des terroristes palestiniens du Hamas qui avaient attaqué le kibboutz Kfar Aza.
Sur les trente-sept résidents du quartier « des jeunes » du kibboutz Kfar Aza, onze ont été assassinés et sept ont été enlevés et emportés à Gaza.
En janvier 2024, l’otage libérée Dafna Elyakim, 15 ans, avait raconté dans une interview accordée à la télévision israélienne qu’elle et sa jeune cadette, Ella, avaient été emmenées dans les tunnels souterrains du Hamas, où elles avaient rencontré cinq autres femmes otages qui ne sont pas encore revenues : Liri Albag, Naama Levy, Romi Gonen, Agam Berger et Emily.